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 Excuse me for loving you {Lyokhael/magie noire}

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Eliseo Jaime
♆ Je m’enivre de ce poison, à en perdre la raison...
Eliseo Jaime


♆ papiers d'identité.
♆ race : Humain (de Lyokha)
♆ âge : 23 ans (et fou amoureux de Lyokha)
♆ métier : Intendant impérial en formation (et amoureux de Lyokha)
♆ célébrité : Ben Barnes
♆ crédits : Tatsuki
♆ messages : 1815

♆ Je m’enivre de ce poison, à en perdre la raison...


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MessageSujet: Excuse me for loving you {Lyokhael/magie noire}   Excuse me for loving you {Lyokhael/magie noire} Icon_minitimeJeu 22 Jan - 22:30

Il est tard. Il est même très tard, Samael, pourquoi traînes-tu encore en ville ? Tu ne devrais pas être là et tu en as bien conscience. Tu avais rendez-vous avec Lyokha, vous deviez passer la nuit ensemble. Tu es d'ailleurs en train de regarder ton téléphone. Il t'a appelé plusieurs fois, il semblerait qu'il s'inquiète. Tant pis. Au lieu d'être aux côtés de l'homme que tu aimes, tu traînes dans un bar, quelques verres d'alcool – soit bien plus que ton unique verre habituel – dans le sang et en très charmante compagnie. Sa proximité est dérangeante, sa main sur ta cuisse qui remonte de temps en temps... Et le pire dans tout cela ? C'est que tu en fais autant, la tienne venant de temps en temps se glisser dans ses cheveux, sur sa nuque ou sa joue, avant de redescendre. Cela ne te ressemble pas, tu n'es pas du genre à draguer les inconnues, encore moins de boire à t'en faire tourner la tête, et faire tout cela alors que tu es en couple, cela n'était jamais arrivé. Quelque chose ne va pas. Tu voudrais partir d'ici, quitter ce bar où tu sens que les regards des clients se font de plus en plus insistants et rejoindre Lyokha, te blottir contre lui, profiter d'une nouvelle nuit ensemble. Mais tu ne peux pas. Et pourquoi donc ? Parce que ton corps ne t'obéit plus depuis quelques jours. Tu n'es plus maître de tes mouvements ni de tes paroles. Quelqu'un agit et parle à ta place. Et tu as beau te débattre mentalement, tu ne parviens pas à briser ces chaînes magiques qui t'emprisonnent au sein de ton propre corps, sans pouvoir te manifester d'une quelconque manière...

~~~ Début du flash-back ~~~

Tu te réveilles difficilement. Tout ton crâne est douloureux, comme si tu t'étais pris un coup très violent à l'arrière. Tu as presque l'impression que les différentes parties de ta boite crânienne sont en train de se décoller. Quelle sensation horrible, et c'est celle-ci qui retient ton attention quelques longues secondes. Puis tu te forces un peu à ouvrir les yeux... Tout est noir ou gris, une odeur d'humidité et de renfermé flotte dans l'air ambiant... Tu as l'impression d'être dans une cave, ce qui ne te rappelle rien. Tu étais en train de marcher dans la rue, allant rejoindre Lyokha quand... Oui, tu te souviens d'un grand choc au niveau de la tête puis plus rien, le trou noir. Tu t'agites un peu, essayant de t'asseoir mais tu te rends aussitôt compte que tes poignets, chevilles et ventre sont entravés, attachés sur une planche de bois. Plus que cela, tu es aussi torse-nu et tu te rends compte qu'on étalé une substance qui t'est inconnue sur le ventre. Tu ne parviens pas à voir ce dont il s'agit ni quel dessin les marques forment, mais tu es certain d'une chose : l'odeur des plantes est très prononcée et ce mélange t'est totalement inconnu. Cette constatation te pousse à t'agiter un peu plus. Rien n'est normal et cela ne présage absolument rien de bon, tu ferais donc mieux de te sortir de là, et très rapidement. Sauf que les liens sont parfaitement bien faits, serrés à la perfection, tu n'as pas d'autre choix que de rester totalement immobile, entravé sur ta planche, jusqu'à ce que deux personnes qui te sont complètement inconnues arrivent.

-Tiens donc, il a l'air d'être réveillé.
-Pile à l'heure. Je n'en attendais pas moins d'un Tudor.
-Qui êtes-vous ? Que me voulez-vous ?


Les deux nouveaux-venus te regardent. Il y a une jeune femme et un homme un peu plus vieux, selon toute vraisemblance. Mais cela ne t'avance guère, ils te sont purement inconnus. Tu forces une nouvelle fois sur tes liens, en vain. Les deux autres chuchotent un court instant entre eux avant de se positionner chacun d'un côté de toi. L'homme à gauche, la femme à droite. Et à voir leurs mains qui s'illuminent, tu comprends que les deux sont des sorciers. De plus en plus étrange, tu n'as rien à voir avec eux. Mais cela ne te concerne pas directement Samael, tu ne peux pas deviner ce qu'ils te veulent, tu n'as pas la moindre idée de ce qu'ils vont te faire... Et comme ils ne répondent pas, tu réitères tes questions.

-Qui êtes-vous et que me voulez-vous ?

La fille fronce un peu les sourcils et te regarde. Il y a quelque chose de triste au fond de ses prunelles quelque chose d'étrange, quelque chose qui t'interpelle. Comme si elle te demandait pardon...

-Je suis navrée Tudor, cette histoire ne vous concernait pas à l'origine...
-Concentre-toi, on n'a le droit qu'à une seule chance !
-Quelle histoire ? Qu'est-ce que vous comptez-faire ?
-Il n'y a que vous qui puissiez atteindre et détruire le Mad Hatter...


Tu restes en bug un court instant. Il n'y a que toi qui puisses atteindre le Mad Hatter. Il n'y a que toi qui puisses le détruire. QUOI ? Ils comptent t'utiliser pour faire du mal à Lyokha ? S'ils pensent en être capable, ils se trompent lourdement ! Il est hors de question que tu lui fasses quoi que ce soit !

-Mais vous êtes malades ? Lâchez-moi ! Laissez-moi partir ou je vous jure que vous le regretterez sincèrement ! Lâchez-moi !!!

Mais tu as beau crier, les insulter, tirer sur tes liens, rien ne change. Absolument rien. Ils incantent quelque chose que tu ne connais pas et plus les minutes passent et plus tu te sens engourdi, endormi. Petit à petit tes yeux se ferment, ta conscience s'embrouille et recule jusqu'au plus profond de ton esprit. Tu n'as plus conscience de rien, juste d'être là. Tu es réduit à l'état de poupée de chiffon capable de penser, mais pas de parler. Tu ne bouges plus, tu n'as même plus une seule seconde envie de t'agiter. Résultat, quand tu sens que quelque chose change, quand tu sens comme une nouvelle présence dans ton esprit, tu en réagis pas non plus. Tu ne comprends pas ce qui t'arrive. La dernière chose dont tu te souviens, c'est d'avoir vu et senti ton corps bouger seul, sans que tu ais cherché à le faire. Puis c'est à nouveau le trou noir...

~~~ Fin du flash-back ~~~

Tu as repris conscience quelques heures plus tard, mais tu n'avais plus aucun contrôle sur ton corps. C'est quelqu'un d'autre qui contrôle tes moindres faits et gestes, c'est quelqu'un d'autre qui choisit quoi dire à ta place. Il puise dans tes souvenirs pour faire le moins de faux-pas possibles et tu as bien du mal à construire un mur entre lui et toi. Tu ne veux pas qu'il puise dans tes souvenirs, tu dois essayé de faire en sorte que d'autres comprennent que ce n'est plus Samael qu'ils ont devant eux mais quelqu'un qui leur est inconnu, quelqu'un qui cherche à détruire Lyokha. Le concernant, tu as essayé de rassembler le plus de souvenirs possibles de lui mais comme c'est ce pourquoi il est là, il brise facilement les barrières mentales que tu as peu ériger. Tu n'es pas un habitué des sortilèges et tu n'en as jamais expérimenté un de ce genre. Ils sont interdits d'ailleurs, puisque contrôler un autre être vivant relève de la magie noire. Il faut absolument que tu trouves un moyen de rompre le sortilège qui t'emprisonne.

Quelque chose te pousse à te concentrer à nouveau sur la situation extérieure. Parce que si ton combat est interne, ce que l'autre fait en externe te concerne aussi. Et il se trouve que... Tu es en train d'embrasser la demoiselle qui te tient compagnie depuis tout à l'heure. * NON !!! Espèce d'enfoiré, cesse tout de suite de l'embrasser ! Je suis en couple, merde, je t'interdis de faire ça ! * Peine perdue. Tu as beau te manifester mentalement, l'autre n'en a que faire et choisit plutôt de prolonger le baiser, glissant ta main sur la nuque de la belle brune. Par tous les dieux de la Terre, si jamais tu récupères le contrôle de ton corps, tu le lui feras amèrement regretter ! Mais ce n'est pas le pire dans tout cela, non. Qu'y a-t-il de pire ? Quelqu'un qui s’éclaircit la voix, quelqu'un qui ne semble absolument pas heureux de te voir embrasser la brune et qui en profite pour te faire la remarque qu'il comprend mieux pourquoi tu ne réponds pas au téléphone, te traitant aussi de pauvre con au passage. Lyokha. Lyokha vient de te surprendre en train d'embrasser une inconnue... Enfin, il croit que tu, que c'est... À ses yeux, c'est bel et bien ce qui se passe. Tu voudrais repousser la jeune femme, lui sauter dessus, l'embrasser, lui expliquer longuement que ce n'est qu'une grosse méprise, mais ton corps ne réagit pas comme tu le souhaites. Tu ne fais que te reculer lentement, un sourire mi amusé mi charmeur accroché aux lèvres, puis tu te tournes vers le blond... Apparemment pas gêné le moins du monde.

-Bonsoir à toi aussi Lyokha. Je pensais pas que tu viendrais...

Tu as envie de te gifler, de te frapper, d'effacer de ton visage ce sourire débile et totalement détestable. Tu as l'air de n'en avoir absolument rien à faire du fait qu'il vienne de te surprendre en train d'embrasser quelqu'un d'autre que lui. Tout comme tu ne sembles en avoir rien à faire qu'il soit là ou non. Mais il est affreux ! Tu veux vraiment le faire bouger, te faire bouger mais tout cela se solde par... Un total manque de réaction. Il mettra peut-être cela sur le compte de l'alcool, que tu sens un peu trop, mais cela n'excuse pas tout. Tu ne t'es jamais bourré, tu n'as jamais dépassé tes limites, tu n'as jamais fait d'excès parce que tu dois toujours être capable de tout maîtriser. Tu le lui as expliqué il y a déjà un certain temps, il sait que tu ne bois pas, ou alors bien en dessous de ta limite. Non, il va se douter qu'il y a un problème, n'est-ce pas ? Oui, c'est certain, il te connaît trop bien pour ne pas prêter attention à une telle information ! D'ailleurs, il te demande depuis quand tu bois jusqu'à ivresse. * Depuis jamais ! Lyokha, ce n'est pas mon genre de faire cela, tu le sais bien ! Ce n'est pas moi ! * Mais ta voix ne se fait pas entendre. Tu ne peux pas parler, tu es condamné à rester spectateur de ce que ton corps fait sous la volonté d'un autre. Par tous les dieux de la Terre, que va-t-il répondre à cela ?

-Depuis aujourd'hui ? Tu ne vas quand même pas faire ton rabat-joie et la jouer vieux-jeu, pour une fois que je fais un petit écart... Installe-toi plutôt ? Je suis sûr que Mademoiselle sera ravie.

Tu te vois désigner la brune à tes côtés d'un signe de tête, et le sourire qu'elle aborde veut tout dire. Toi, ton cœur rate un battement. Jamais tu ne te serais permis de dire ni même de penser de telles choses ! C'est n'importe quoi, ce n'est vraiment pas toi d'agir ainsi ! À moins qu'il mette cela sur le compte de l'alcool... Ce serait possible, c'est tellement étrange, et c'est aussi la première fois que tu es un peu bourré... Mais tu espères qu'il va comprendre que quelque chose cloche. Quelque chose d'autre que ce taux d'alcool un peu trop élevé dans ton sang...
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Raleigh Rutherford
♆ tell me, would you kill...
Raleigh Rutherford


♆ papiers d'identité.
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♆ tell me, would you kill...


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MessageSujet: Re: Excuse me for loving you {Lyokhael/magie noire}   Excuse me for loving you {Lyokhael/magie noire} Icon_minitimeVen 23 Jan - 21:53

Tu es inquiet. Cela se voit à ta manière de tourner en rond chez toi. Tu n'as de cesse d'aller de gauche à droite, puis de droite à gauche. De t'arrêter au moindre bruit qui laisserait penser que l'on sonne ou que l'on frappe à la porte. Le moindre indice de sa présence, le moindre message que tu guettes avec frustration depuis plus de deux heures maintenant... Il était convenu qu'il te retrouve chez toi. Que vous profitiez d'une petite soirée en tête à tête, rien que tous les deux. Tu avais même prévu une surprise, que tu t'es résigné à décommander finalement puisque votre rendez-vous tombe à l'eau apparemment. Mais ce qui t'inquiète le plus, c'est qu'il ne répond pas à tes appels. Voilà plusieurs messages que tu lui laisses, ta voix empreinte d'une certaine inquiétude qu'il te connaît. Mais aucun retour, aucune réponse. Rien que toi et le silence, dans ton appartement, avec l'inquiétude qui t'enserre le cœur. Quelque chose ne va pas ? Peut-être que tu t'inquiètes pour rien. Peut-être qu'il est juste retenu par ses obligations d'intendant impérial... Tu secoues la tête, non, il aurait au moins laissé un message ou répondu rapidement pour te dire de ne pas l'attendre. Ou de ne pas t'inquiéter. Rah, tu commences à te poser trop de questions, ce n'est plus possible ! Alors tu récupères ta veste et tes clés, et tu disparais juste en ville, avec l'espoir un peu fou de le croiser au détour d'une rue. Qui sait, peut-être qu'il t'a mal compris aussi. Peut-être qu'il t'attend depuis tout à l'heure à l'un de vos bars favoris, à cause d'un petit quiproquo... Peut-être qu'il n'a plus de batterie, et que lui aussi s'inquiète ? Tu essayes de te rassurer avec cette idée, même si cela te semble trop beau et trop simple pour être vrai. Enfin, aucune hypothèse n'est à écarter, alors tu rôdes des côtés de vos divers lieux de rencontre. Et c'est devant un bar en particulier que tu piles, fronçant les sourcils en pensant l'apercevoir à l'intérieur. Et... Oui, c'est bien lui en plus ! Tu restes en bug un instant. Il n'est pas seul. Visiblement heureux de sa nouvelle compagnie. Une jeune femme assez charmante, il faut le dire. Et si ton cœur battait encore, il louperait sans doute un temps, devant cette vision qui t'assomme. Il est avec quelqu'un d'autre. Avec une femme. Et ses gestes, sa manière de la regarder... Tu sens une pointe s'enfoncer dans ton cœur, mais tu ne te dégonfles pas pour autant, ouvrant la porte de l'établissement dans l'espoir de le récupérer.

Mais les deux s'embrassent. Tu ne les quittes pas des yeux, et tu as l'impression que ton sang est en train de bouillir dans tes veines. Et tu as mal, tellement mal... Si mal que tu aimerais en pleurer sur l'instant, mais tout ce qui l'emporte, c'est la colère. Le désespoir. Comme si ce qui se passe était, dans le fond, inévitable. Tu t'en doutais pourtant un peu. Ces derniers jours, Samael n'était plus vraiment le même. Et tu commences doucement et douloureusement à comprendre pourquoi. Tu arrives juste devant eux, tu t'éclaircis la voix. Son manque de réaction te blesse d'autant plus, et tu te décides à prendre la parole. « Je comprends mieux pourquoi tu ne réponds pas au téléphone... T'es qu'un pauvre con. » il prend son temps pour se détacher de la demoiselle. Et le sourire qu'il t'offre, bon sang, tu n'as qu'une envie, c'est de lui faire ravaler. Tu le hais tellement sur l'instant. Tu as envie de le gifler, mais c'est comme si tes membres étaient paralysés : tu ne bouges pas. Tu te contentes de les observer, et tu briserais bien la nuque de cette femme qui te regarde d'un air lourd de sous-entendus. Il ne pensait pas que tu viendrais ? Tu échappes un éclat de rire totalement sarcastique. Il ne pensait pas que tu viendrais... C'est pourquoi il se laissait aller dans les bras d'une inconnue avant que tu ne débarques ? Tu secoues la tête. « Non, je vois ça. » Balances-tu en toute simplicité, tout en dévisageant la brune. Mais quelque chose t'interpelle. Quelque chose qui ne ressemble pas à Samael, en plus de cette soudaine tendance à l'infidélité. Et tu doutes que ton odorat de vampire y soit vraiment pour quelque chose, bien que ce dernier soit plus développé que ce lui d'un humain lambda. Mais il y a cette odeur d'alcool persistante... Tu plisses un peu les yeux en observant ton brun. Il est... Il est ivre, en fait. Et là, tu dois bien admettre que tu te sens perdu. Samael, bourré ? Lui qui t'a toujours dit ne jamais faire d'écart, toujours vouloir être maître de lui-même... Tu secoues la tête, une lueur d'incompréhension brillant au fond de ton regard. « Et d'abord... Depuis quand bois-tu jusqu'à ivresse, hm ? » Tu hausses légèrement les épaules parce que tu aimerais bien comprendre. Ça ne correspond pas, ce soudain revirement de situation... Tu ne comprends pas ce que tu as fait pour mériter cela. Il sait que l'infidélité c'est... Quelque chose d'extrêmement sensible avec toi. Tu en as tellement souffert par le passé... Et là il agit comme si de rien n'était. C'est désespérant, mais surtout blessant. Profondément blessant.

Sa réponse te donne des hauts le cœur une fois de plus. Ça te révulse simplement. Il te révulse. Tu ne comprends pas son changement de comportement. Cette attitude totalement désinvolte et qui te fait peine à voir. Pour une fois qu'il fait un écart ? Tu secoues la tête. Non, tu n'es pas d'accord. Toi, tu ne lui as jamais fait subir un tel calvaire. Tu n'as jamais disparu le temps d'une soirée pour qu'il te retrouve dans les bras d'une ou d'un autre. Il est sûr que mademoiselle sera ravie ? Oh, toi aussi tu en es persuadé. D'ailleurs, tu vas t'en assurer immédiatement, alors que tu plonges ton regard dans celui de la jeune femme. « Et mademoiselle va aller faire un tour ailleurs, pour son plus grand bien. » Fais-tu, dévoilant au passage tes canines aiguisées. Elle a une expression plutôt inquiète. Elle regarde Tudor un instant avant de se détourner vers ton verre, n'osant plus de te regarder. C'est ça, et qu'elle dégage aussi, avant que tu ne sois tenté de mettre tes menaces à exécution. Mais elle se contente de vous regarder à la dérobée tout en sirotant son verre. C'est un bon début. Toi, tu poses ton regard accusateur sur .. Ton petit-ami ? Est-ce toujours le cas ? Rien n'est moins sûr apparemment. « Et toi, tu viens avec moi. On rentre à la maison, et c'est pas négociable. » Pourtant, il ne te prend pas totalement au sérieux puisqu'il n'est pas vraiment décidé à te suivre. Même pas du tout... Tu perds brusquement patience, et tu tapes d'un coup sec sur le comptoir, faisant sursauter quelques personnes aux alentours. « Maintenant tu me suis, c'est pas négociable j'ai dit. » Ton regard se fait noir, ta main tremblante. Tu glisses doucement hors de toi par sa faute. Tu pètes littéralement un câble sous le regard étonné de nombre de personnes présentes ce soir. Mais tu n'en as rien à faire. Tu le chopes par le bras fermement, le poussant à descendre de son tabouret. Qu'il récupère sa veste, qu'il vienne à ta suite. Car s'il ne s'exécute pas, alors il ne te reverra pas d'un certain temps. Tu lui donnes l'occasion de s'expliquer, s'il ne s'en rend pas compte. Qu'il en profite, plutôt que de tout foirer, à nouveau.

La rue est déserte ou presque. La nuit est depuis longtemps tombée, et pas mal des habitants sont au chaud, chez eux, tranquillement. Tu fais volte face. Tu te tournes vers le jeune humain qui te fait face, et bon sang, qu'est-ce que tu aimerais pouvoir lui faire ravaler son sourire. Être capable d'un tel mal qui ne t'aurait pas fait ciller autrefois... Aujourd'hui, tout cet amour que tu lui portes t'aveugle. À un tel point que tu ne serais pas capable de le blesser physiquement. Tu aurais bien du mal à le supporter en réalité. « Alors c'est ça ? Je m'inquiète pour toi. J'ai passé les deux dernières heures à te laisser des messages, à appeler à droite à gauche pour avoir de tes nouvelles, et PERSONNE n'a su me dire où tu te trouvais. » Tu t'arraches un peu la voix sur certains mots. Ça se voit, que tu as mal au cœur. Que tu as vraiment mal, et que doucement, tu brûles de l'intérieur. « Et je te retrouve là, à embrasser une pétasse que tu ne connais pas le moins du monde. Et le pire, tu sais ce que c'est ? Tu fais comme si c'était normal. » Non, tu ne mâches pas tes mots. Tu n'es, de toute façon, pas réputé pour être mesuré dans tes propos. Tu secoues finalement la tête, ton regard déviant ailleurs. Comme si l'observer était devenu trop douloureux soudainement. C'est un peu le cas, car dès que tu as le malheur de croiser son regard, tu le revois avec l'autre humaine, à s'embrasser comme un couple au milieu de ce bar. Tu glisses tes deux mains dans tes cheveux. Tu déglutis difficilement. « Je sais pas ce que j'ai fait pour mériter ça. Tout allait bien et... Je sais pas, ça fait quelques jours que t'es plus totalement le même. Et maintenant ça ? Tu bois, tu... » Les mots t'écorchent les lèvres il faut croire, puisque tu préfères te remettre en route pour ton appartement, lui sur tes talons. Tu ne veux pas imaginer la suite. Penser au reste, à ce qui aurait pu se passer si tu n'étais pas intervenu. Tu te mords la lèvre, le cœur lourd. Tu ne sais pas quoi penser de la situation. Tu te sens confus, et mal... Et surtout mal en fait. C'était bien là la dernière chose que tu attendais de lui... Qu'il te déçoive de cette manière était tout bonnement inconcevable, et pourtant... « Dis-moi... Qu'est-ce qui se serait passé si j'étais pas intervenu, hm ? » Tu veux la vérité ; même si c'est pour avoir mal un peu plus encore. Tu as besoin de savoir pour te parer au pire. Pour essayer de compenser, de changer pour le contenter. Si c'est ce qui te fait défaut, bien sûr.. Maintenant, s'il désire juste se faire des filles et passer ses soirées dans les bars en grand Don Juan... Tu aviseras, et tu souffriras, juste pour lui. Pour son bon plaisir...
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Eliseo Jaime
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♆ crédits : Tatsuki
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MessageSujet: Re: Excuse me for loving you {Lyokhael/magie noire}   Excuse me for loving you {Lyokhael/magie noire} Icon_minitimeDim 25 Jan - 1:29

Il voit ça. Non, justement, il ne voit pas. Il ne voit pas ce que tu voudrais voir, il ne voit pas que tu n'es pas toi-même. Ou si, il le voit mais il ne comprend pas. Tu voudrais le secouer, hurler pour lui faire comprendre qu'il fait erreur, que ce qui ce passe n'est pas de ta faute, que tu ne voulais pas que cela se passe ainsi ! Par tous les dieux de la Terre, ce n'est pas toi qui a embrassé cette inconnue, ce n'est pas toi qui lui sourit d'une manière parfaitement horrible ! Enfin... Si, c'est ton corps mais tu n'es que spectateur de tout ce qui se passe. Tu ne voulais pas, tu ne veux pas le blesser, tu l'aimes bon sang et voir combien il est blessé par ton comportement te fend le cœur. Tu sais que l'infidélité est un point extrêmement sensible chez lui, tu sais qu'il ne le supportera, qu'il aura du mal à te pardonner. Tu ne veux pas le faire souffrir, pas à cause de toi. Tu détestes ces sorciers qui jouent avec son cœur, t'utilisant contre lui sans que tu sois capable de réagir. Tu les hais. Il faut que tu trouves le moyen de briser ce satané sort. Mais pendant que tu t'agites mentalement, que tu essayes de reprendre le contrôle de ton corps, que tu insultes celui qui te manipule, les minutes défilent et les provocations aussi. Les blessures, tu les lui infliges sans le vouloir, elles t'échappent sans que tu puisses les retenir, sans même que tu les aies pensées.

Mademoiselle va aller faire un tour ailleurs pour son plus grand bien ? Oh que oui, bonne idée ! Et s'il pouvait t'embarquer ailleurs où tu ne pourrais plus le blesser, où ce satané sorcier ne pourrait plus lui faire de mal, ce serait parfait. Sa petite menace dissimulée fonctionne bien avec la demoiselle mais tu sens que cela agace le sorcier. Mauvaise nouvelle. Très mauvaise nouvelle, même. Tu sens que le retour fera mal et tu ne pourras absolument rien faire pour l'en empêcher. Cela te fait peur, pas pour toi mais pour Lyokha. Tu baisseras volontiers les eux devant ce regard accusateur que le bond pose sur toi, mais tu ne le fais pas, tu ne peux pas. Tu te contentes de le regarder, faisant légèrement la moue. Non. * Je t'interdis de faire une remarque désagréable. * Peine perdue...

-Rabat-joie. Et si je n'ai pas envie de rentrer, hm ?

* Connard. * C'est tout ce que tu parviens à penser. Connard. Cet enfoiré n'a pas son mot à dire, il n'a pas à décider pour toi, il n'a pas à être désagréable. Non, c'est hors de question. Mais comme tu t'en étais déjà rendu compte, tu ne peux pas réagir, tu ne peux pas l'obliger à se faire taire, tu ne peux pas l'empêcher de faire un geste ou un autre. Tu ne peux rien faire, prisonnier de ton propre corps, enchaîné au fond de ton propre esprit. Tu n'es rien de plus qu'une marionnette, mais une marionnette consciente, et c'est sûrement le pire dans toute cette histoire : être simple spectateur. Tu les hais. Mais Lyokha ne semble pas avoir envie de te laisser dans ce bar, ce qui est sommes toutes parfaitement compréhensible. Tu sursautes un peu lorsqu'il tape du poing sur le comptoir. Mais le sorcier semble en avoir assez de lui tenir tête puisque, lorsque ton blond te tire hors de ton tabouret, tu finis par te lever. Tu prends tout de même le temps de finir ton verre avant de le suivre dehors, soupirant profondément. Même ainsi, il parvient à être désagréable, c'est affolant... Mais Lyokha devrait bien finir par comprendre ce qui cloche, n'est-ce pas ? Tu essayes de te raccrocher à cette idée. Il te connaît suffisamment bien pour ne pas se laisser abuser bien longtemps, n'est-ce pas ?

Lyokha se retourne vers toi et si tu déglutis mentalement, ton corps n'a pas la moindre réaction. Comme si cela n'avait pas d'importance. Certes, tu es ivre mais la manière dont l'autre te manipule n'en semble pas influencée. Qu'il arrête là le massacre, qu'il te lâche, ton amant a été blessé, n'est-ce pas suffisant ? La réponse tombe, claire, nette : non. Ce qu'il cherche à faire, c'est le détruire complètement. Il n'a pas le droit de faire cela à Lyokha, il n'a pas mérité cela, il n'a... Il... Ils se basent uniquement sur ce qu'ils savent du Mad Hatter, ils ignorent qui est Lyokha Volkov. Ils ne savent rien, ils n'ont pas le droit de faire ce qu'ils essayent de faire ! Tu as l'impression d'être dans l'esprit d'un chasseur extrémiste, quelqu'un qui n'a que sa petite vengeance en tête sans se soucier une seule seconde de tout le reste. Et tu sais à quel point cela peut se révéler dangereux... Tu entends les propos de Lyokha, tu comprends son emportement, sa douleur résonne dans ton esprit, te déchirant le cœur. Comment peuvent-ils se montrer si inhumains ? Tu désespères tu voudrais avoir au moins le doit de disparaître, de partir, de le laisser seul pour réfléchir à cette situation, mais l'autre en a décidé autrement. Et quand ton amant parle de la brune comme une pétasse que tu ne connais pas, quelques mots t'échappent.

-Qui te dit que je ne la connais pas ?

Tu tombes de haut. Non, il n'a quand même pas osé dire cela ? Il n'a pas... Si, il a osé. Il l'a dit, il s'enfonce, il t'enfonce un peu plus face à l'homme que tu aimes. Par tous les dieux de la Terre... Tu as envie de te gifler, de toutes tes forces. Tu détestes l'homme que tu sembles être en cet instant. Tu te hais. Et le désespoir de Lyokha n'arrange en rien ton opinion sur tes propos. Il ne te regarde plus, ses mains dans ses cheveux blonds et un brin de désespoir dans sa voix... Qu'a-t-il fait pour mériter cela ? Rien. Tu ne veux pas lui faire de mal tu ne veux que son bonheur, mais d'autres en ont décidé autrement. Et tu n'as pas été capable de te défendre, tu n'as pas été capable de leur résister. Parce que s'il y a bien une chose contre laquelle on ne t'a jamais appris à te batte, c'est bien la magie. Tu es faible face à elle, parce que les sorciers n'ont jamais été vos ennemis... Voilà le résultat d'une telle négligence... Tu t'en veux affreusement, tu te sens coupable de tout ce qui se passe. Tu aurais dû résister. Et pendant ce temps là, tu te contentes de hausser les épaules, l'air de dire : oui, je bois, et alors ? Tu détestes tant cela, mais tes insultes ne reçoivent aucun écho, aucune réponse. Tu te sens seul au monde, plus que jamais. Mais peut-être moins que Lyokha en ce moment... Le pauvre... Tu voudrais tellement sortir de ce corps pour le prendre dans tes bras, le rassurer, li expliquer que ce n'est pas son Mae qu'il a devant lui mais quelqu'un d'autre manipulant son corps, tu voudrais l'embrasser, tu voudrais faire tant de choses dont tu es incapable... Tu le suis dans les rues, ne disant pas un mot, râlant un peu de manière incompréhensible. N'importe quoi. Et une question t'interpelle à nouveau. Une question dont tu redoutes instantanément la réponse que le sorcier va donner à ta place : que se serait-il passé s'il n'était pas intervenu ? Tu as un nouveau haussement d'épaules avant de porter une main à ton front brûlant.

-Je ne sais pas... Sincèrement, je n'en ai aucune idée...

* Tu parles, sale menteur. Tu aurais volontiers couché avec elle. * Tu sais que tu as raison mais tu n'obtiens, encore une fois, aucune réponse. Mentalement, tu vibres de colère mais extérieurement tu es parfaitement calme, comme si tu avais dit la pure vérité, comme si tu étais un peu fatigué aussi. Tu désespères. Tu n'en peux plus de toute cette histoire, tu veux sortir d'ici... Tu espères qu'il ne s'agit de rien de plus qu'un affreux cauchemar, que tu vas te réveiller d'un instant à l'autre, aux côtés de ton vampire, confortablement installé sur son torse et à encore quelques heures du lever de soleil, afin de pouvoir profiter encore un peu de sa présence. Oui, tu voudrais vraiment n'être qu'en train de faire un bien mauvais rêve, mais plus le temps passe et plus tu crains qu'il ne s'agisse vraiment de la réalité. Tu le suis jusqu'à l'appartement et si, une seconde, tu t'agites pour que le sorcier ne franchisse pas le pas de la porte, cela ne sert à rien. Il est entré dans votre domaine, votre chez-vous, même si cela appartient à Lyokha. Bon sang... Qu'il sorte, il n'a rien à faire ici ! Absolument rien ! Mais il n'en tient pas compte et... Vient enlacer ton blondinet, avant de se faire brusquement repousser. Alors tu fais la moue, baissant les yeux...

-Pardon... Je crois que l'alcool m'est un peu trop monté à la tête... Il serait plus sage que j'aille me coucher... Tu ne crois pas ?

Et là, tu es surpris. Non pas parce qu'il est méchant ou quoi que ce soit, mais parce que cela ressemble enfin à ce que tu serais capable de sortir. Mais que... Tu viens de comprendre. Il compte semer le trouble dans l'esprit de ton cher vampire. Il va se montrer horrible au possible puis revenir gentiment vers lui, comme fautif, pour que Lyokha ne puisse pas réellement te détester, pour qu'il pense que même si tu fais des conneries, tu es encore attaché à lui et tu veux être en sa compagnie. C'est sournois, c'est affreux ! Non, que Lyokha refuse, qu'il te fasse quitter son appartement à coups de pied au derrière ! Qu'il t'oblige à partir ! Mais non, il n'en fait rien, acceptant ta proposition. Vous finissez même dans le même lit, après que tu te sois débarbouillé et arrangé pour faire un peu partir cette maudite odeur d'alcool qui ne t'a pas quittée depuis le bar. C'est affreux ce qui se passe... * Arrête, je t'en prie... Arrête tout ça... Laisse Lyokha... * Rien, encore une fois. Tu parles – penses – dans le vide. Vous êtes dans le même lit, côte à côte, ais vous ne vous touchez pas. Il est en colère et tu le comprends, qu'il continue à te faire la tête. Mais une nouvelle fois, ton marionnettiste ne semble pas d'accord puisqu'il attrape la main du blond... Avant de se faire repousser. * N'insiste pas, idiot. Il ne veut pas. * Il revient pourtant à l'assaut, venant se coller au blond. Et une nouvelle fois, tu te fais dégager. Qu'il cesse d'insister bon sang ! Mais non... Une nouvelle fois, tu te retrouves collé à ton blondinet...

-S'il te plaît... Lyokha...

Non mais non ! Non ! * NON !!! Dégage ! Lâche-le ! * Qu'il le laisse ! Et.. Non. Non... Non, Lyokha... Il finit par t'enlacer... Il finit par... Pourquoi accepte-t-il de te prendre dans ses bras ? Pourquoi ? Il aurait dû te virer de son appartement... Il semblerait que l'autre ait gagné cette partie, mais tu espères qu'il perdra la guerre. En attendant... Ta maigre consolation est que ce contact le dégoûte au plus haut point, tandis qu'il t'apaise... Toi, tu te sens bien mais tu ne t'accordes pas une seule seconde de repos tant que tu sais que l'autre est encore là, quelque part dans ton esprit... Mais tu finis par t'endormir malgré tout...

~~~

Tu es brusquement réveillé par une sonnerie, quelque part un peu plus loin. Réveillé en sursaut, tu t'arraches au corps froid mais néanmoins confortable contre lequel tu dormais pour fouiller le manteau étalé au sol, à la recherche d'un portable sur lequel tu mets la main une fois que la sonnerie a fini de retentir. Un appel de l'intendant. Tant pis, tu n'as pas envie d'y prêter grande attention. Par contre, tu observes ton portable quelques instants encore... Et oui, Léandre t'envoie quasi-aussitôt un message te disant qu'il y a eu un problème et que l'arrivée des prochaine ambassadeurs est repoussée à la fin de l'après-midi, au lieu de la matinée même. Bonne nouvelle, tu vas pouvoir occuper ta matinée à autre chose. Et c'est en essayant de glisser une main dans tes cheveux sans y parvenir que tu te souviens de la situation dans laquelle tu te trouves : tu n'es plus maître de toi. Tu n'es plus qu'une marionnette entre les mains d'un sorcier que tu ne connais ni d'Adam ni d'Eve. Et Lyokha qui est encore dans le lit, Lyokha contre lequel tu as dormi, Lyokha qui ne se doute de rien... Il faut que tu partes avant de le blesser un peu plus que ce que tu as pu faire hier soir. Mais tu n'es malheureusement déjà plus maître de ton corps... Tu retournes dans le lit et reviens contre le blond... Et tu sens bien que, une fois de plus, le sorcier en est dégoûté... * Sort de mon esprit et de mon corps si tu es dégoûté. * Rien ne se passe. Cela aurait été tellement trop beau...

-Bonjour et désolé pour le réveil... Il y a eu un imprévu... Ma matinée vient de se libérer... Tu permets que je reste ? Je suis tellement désolé pour hier soir, je ne sais pas ce qui m'est arrivé, je... Je voudrais tellement que tu me pardonnes...

* Et tu ne veux pas les violons non, pendant que tu y es ? Tu n'es pas crédible * Tu es désagréable certes. Mais tu n'aimes pas qu'on joue avec le cœur de ceux que tu aimes, encore moins quand c'est toi qu'on utilise. Et tu es impuissant, réduit à espérer que ce pauvre Lyokha sera encore trop énervé pour accepter un peu plus longtemps ta présence à ses côtés. Mais tu en doutes, parce qu'il t'a laissé dormir contre lui. Pauvre Lyokha... Oui, pauvre Lyokha... Tu crains sérieusement pour son cœur, ce cœur que tu voulais préserver, soigner après tout ce qu'il avait subit... Tu es tellement désolé de ne pas être  la hauteur, désolé de ne pas être capable de le protéger... Tout cela parce que vous vous aimez...
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Raleigh Rutherford
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MessageSujet: Re: Excuse me for loving you {Lyokhael/magie noire}   Excuse me for loving you {Lyokhael/magie noire} Icon_minitimeVen 27 Mar - 13:00

Et s'il n'a pas envie de rentrer ? Toi, jouer le rabat-joie ? Tu écarquilles les yeux devant son audace. Tu pourrais le frapper. Mais tu n'en fais rien, tu te contentes de frapper du plat de la main sur le comptoir, de manière assez significative. S'il n'a pas encore compris, tu ne lui laisses pas le choix ; vous partez, que ça lui plaise ou pas. Non mais qu'est-ce qu'il croit ? Que tu vas le laisser là, lui laisser l'occasion de retrouver l'autre brune et de s'amuser avec elle jusqu'au bout de la nuit ? Si c'est le cas, il a carrément perdu l'esprit. Et tu te sens mal bon sang, tellement mal... Ce pincement au cœur persiste, tu ne te sens pas bien, pas du tout. Il t'a fait du mal. Plus qu'il ne pourrait possiblement l'imaginer apparemment. Il était en train d'embrasser une fille, et à la manière dont-il t'a accueilli, il n'avait aucun scrupule, et n'a eu aucun regret de l'avoir fait... Tu l'attrapes par le bras, bien décidé à le dégager de son tabouret. Et tu sors, ne lui portant pas un seul regard. Ton cœur brûle toujours autant, et rien que l'entendre soupirer profondément de sort tes yeux. Mais tu ne veux pas être violent. Tu ne veux pas lui faire de mal. Alors tu l'attends dans la rue, pour des explications que tu mérites. Ce serait la moindre des choses à tes yeux, qu'il s'explique. Tu aimes te dire que c'est uniquement de la faute de l'alcool, qu'il ne voulait pas... Mais tout dans son comportement indique le contraire. Il est peut-être ivre, mais il semble encore capable de réfléchir. Alors tu ne peux pas mettre ses agissements uniquement sur le compte de l'alcool. Il a fait le choix d'embrasser l'autre connasse, qu'il l'assume maintenant. Et ça, ça ne semble pas lui poser le moindre problème, non...

Peut-être qu'il la connaît en effet, comme il te le laisse sous-entendre. Peut-être même qu'il lui tourne autour depuis un bout de temps. Ou encore, qu'ils ont déjà franchi le pas, et que la dernière fois qu'il a prétexté avoir une réunion, c'était en réalité pour trouver la jeune femme et conclure. Tu ne veux pas y penser, ne serait-ce qu'envisager cette possibilité te serre le cœur, alors tu resserres les mâchoires et tu essayes de ne pas te montrer trop désagréable. Tu préfères même d'ignorer cette pseudo-provocation qu'il vient de t'envoyer, car ça te fait mal au cœur. Tu ne veux pas le regarder. Tu ne veux pas croiser son regard, ou même ce sourire qu'il te donne depuis tout à l'heure. Un sourire tantôt imbuvable, tantôt las. Aucun des deux ne te donne envie de faire des efforts, et tout ce que tu fais, c'est passer tes mains dans tes cheveux blonds et tirés un peu dessus, tandis que ton regard se perd dans la nuit. Tu le détestes bon sang... Et tu l'aimes tellement à la fois que tu n'arrives même pas à t'énerver contre lui. Qu'as-tu fait pour mériter ça ? Ce changement de comportement ? Tu n'en sais rien, et c'est le désespoir qui l'emporte dans ta voix. Pourquoi. Pourquoi maintenant, pourquoi fait-il ça. Vous ne vous êtes pas pris la tête dernièrement, on peut même dire que vous étiez particulièrement heureux... Alors pourquoi maintenant ? Tu as bien remarqué que ces derniers temps, il n'était plus tout à fait le même. Un peu distant. Différent à ton contact. Plus froid, moins... Proche. Qu'as-tu fait de mal ? Rien, à tes yeux. Tu lui as laissé du temps, tu l'as laissé s'éloigner un peu, et vois où ça vous a mené, où ça l'a mené ; dans un bar à rouler une pelle à une pauvre petite conne que tu aurais bien bouffée sur place, si tu n'avais pas été aussi désespéré. De la jalousie ? Peut-être. De la possessivité ? Sûrement. Mais surtout une peur bleue de le perdre, de revivre ce que tu as vécu trop de fois déjà avec d'autres.

Une question te brûle les lèvres ; que se serait-il passé si tu n'étais pas intervenu. Tu appréhendes la réponse, le sarcasme qui va sûrement teinter ses propos. À croire que l'alcool le rend mauvais, particulièrement imbuvable. Qu'il t'épargne un peu, qu'il cesse de faire saigner ton cœur, ce dernier a bien trop chargé pour ce soir déjà. Il n'en a aucune idée ? Pour le coup, tous les efforts du monde ne suffisent pas à ce que tu le crois. Tu fais semblant d'y croire, en te contentant de serrer les dents, mais tu as ta petite idée de ce qui se serait passé ; les deux auraient conclus tu ne sais où, et tu ne veux pas savoir, et tu espères, du plus profond de ton âme que cette idée ne lui a même pas effleuré l'esprit. Mais... C'est un homme. Et un homme – au même titre qu'une femme – ça peut être très con parfois. Très con, et particulièrement primitif. L'alcool ramène les instincts basiques. La brune n'était pas si moche, et tu ne veux même pas imaginer la suite de l'histoire. Bref, une fois de plus, tu ne prends pas la peine de répondre. Tu te contentes d'enchaîner les mètres qui vous font rejoindre votre appartement. Ton appartement. C'est en silence que vous le rejoignez d'ailleurs. En silence que tu rentres, que tu accroches ta veste au porte-manteau, que tu jettes tes clés sur le petit meuble et que tu vas brancher ton portable. Tu ne veux pas parler. Tu ne veux pas l'entendre non plus. Pas ce soir, tu n'as pas la force d'affronter ses explications tirées par les cheveux, et encore faut-il qu'il projette de s'excuser. Tu vérifies tes messages d'ailleurs, prenant la peine de répondre à certains, en ignorant d'autres. Et c'est à cet instant que tu sens ses mains de part et d'autre de ta taille, et son menton au creux de ton cou. Il ne te faut pas longtemps pour te retourner et le faire dégager, avec une expression tout sauf sympathique. « Lâche-moi. » Fais-tu, sourcils froncés, t'éloignant un peu.

Ne peut-il pas comprendre que tu as mal au cœur ? Plus que tu n'aurais pu l'imaginer ? L'infidélité, c'est un des pires crimes qui soient, à tes yeux. Merde, quand on aime quelqu'un, profondément, sincèrement, on ne va pas s'amuser ailleurs. Ça ne t'a pas effleuré l'esprit une seule fois, que de te taper quelqu'un dans son dos. Et honnêtement, ce ne sont pas les occasions qui ont manqué, avec toutes ces soirées et les amies de Lucky, et toutes ces filles qui dansent au cabaret et au casino. Mais non. Tu n'as pas regardé ailleurs. Tu n'as pas pensé de travers. Parce que tu savais que tu l'avais lui, et qu'il valait un millier de fois toutes ces nanas réunies. L'alcool lui est un peu trop monté à la tête ? Sans blague. Tu arques brièvement les sourcils, ironique, accompagnant cette moue peu engageante d'un soupir sonore. Oui, il devrait aller se coucher en effet. « L'alcool t'es un peu trop monté à la tête... Oui, je crois bien oui. Mais entends bien une chose Samael ; tu peux boire comme un trou si ça t'amuse, tu peux descendre autant de shots que tu veux, mais l'alcool n'excuse pas tout, et sûrement pas le fait que tu ailles voir ailleurs. » Ta voix est ferme. Tes propos le sont tout autant, et sans appels. C'est une mise en garde. Plus que ça ; un conseil. Qu'il ne recommence pas, il pourrait amèrement le regretter. Et toi, tu pourrais vraiment en souffrir... Disons que cette fois, tu n'es pas tombé de bien haut ; de ta hauteur dirons-nous. Mais la prochaine fois ? La chute risque d'être bien plus douloureuse. « C'est ça, file te coucher. Et fais-moi plaisir, évite de vomir dans mes draps. » Tu lèves les yeux au plafond, parce que ce serait franchement le top pour la soirée pourrie. Enfin bref. Tu fermes la lumière en bas après avoir verrouillé la porte, et tu montes à l'étage ou se trouve votre chambre. Tu fais un rapide détour par la pièce qui fait office de buanderie histoire de mettre tes affaires au sale. Et c'est en boxer que tu files te glisser entre tes draps encore frais.

Il est là, lui aussi. Mais tu n'y prêtes pas attention. Tu observes plutôt le plafond immaculé. Tu te perds dans tes pensées, sans trop savoir à quoi tu réfléchis en même temps. Et tu sens sa main qui vient se refermer sur la tienne. Tu fronces un peu les sourcils et tu récupères ta main. Qu'il arrête. Il t'a sérieusement gavé ce soir, alors qu'il n'y songe même pas. Tu es loin de vouloir de ces petits contacts qui consolident normalement une relation... Non, tu n'as sûrement pas la patience pour ça ce soir. Et il vient se coller à toi... Tu serres les dents et tu le pousses. « Dégage. » Tu es cru. Plus que tu n'aimes l'être avec lui. Tu te détestes d'être aussi vif. Mais c'est un mal pour un bien, non ? Tu as encore mal au cœur. Tu lui tournes alors le dos, regardant de l'autre côté du lit. Le mur. Tout aussi clair que le plafond. Tu fermes les yeux. Mais... Et le voilà qui se colle à toi à nouveau. Tu plisses les yeux, alors qu'il te prononce trois petits mots.. S'il te plaît... Tu te mords un peu la lèvre, hésitant... Tu sais que tu ne peux pas le détester. Tu n'y arrives pas. Il fait fondre toute volonté en toi... Alors tu te retournes, tu l'attrapes contre ta personne, tu l'enlaces alors qu'il se positionne confortablement. Pour lui, tu ignores cette douleur qui persiste derrière ta cage thoracique. Tu ignores ta souffrance causée par ses écarts. Pauvre blondinet qui ne comprend pas ce qui se passe, qui ne voit pas ce qui se trame dans son dos...

---o---

Une sonnerie se fait entendre dans la pièce, et si ton petit-ami quitte rapidement le lit pour aller voir ce qu'il en est, toi tu prends ton temps pour ouvrir les yeux et émerger doucement. Tu n'as pas passé une très bonne nuit, à dire vrai. Et il faut dire que tu n'as pas passé beaucoup de temps dans ton lit non plus... Pourquoi ? Parce que très tôt ce matin, alors qu'il faisait encore nuit, tu es sorti. Tu t'es habillé et tu es parti te promener à pieds, un peu. Pour réfléchir. À tout ce qui s'était passé. Pour songer et peser le pour et le contre, savoir si oui ou non tu devais le pardonner. Évidemment, tu en es venu à la conclusion que oui, tu pouvais pardonner cet écart. Parce que c'était la première fois, parce que tu as empêché le pire. Parce qu'il ne recommencera pas, s'il tient vraiment à toi. Alors tu as fait demi-tour, tu es passé par une ville, tu as fait un arrêt à une boulangerie pour lui prendre de quoi déjeuner. À croire que les bonnes intentions persistent, quoi qu'il arrive... Et tu es rentré. Tu as posé les viennoiseries en bas, tu t'es déshabillé à nouveau et tu t'es glissé silencieusement entre les draps, le reprenant contre toi. Jusqu'à te rendormir. Voilà pourquoi tu n'as pas vraiment bien dormi. Mais, bref. Maintenant, vous êtes réveillés, et tu espères un peu naïvement que ses exploits de la veille sont oubliés. Toi du moins, tu préfères ne plus y penser. Il revient contre toi, tu remets la couverture sur vous plus ou moins correctement. L'avoir contre toi t'apaise clairement. Tu te sens mieux. Bien moins inquiet qu'hier soir, aussi... Un imprévu ? Il veut rester avec toi ce matin ? Et que tu le pardonnes pour la veille... Voilà qui t'aurait étonné... Tu soupires un peu, alors qu'un sourire en coin s'accroche à tes lèvres. Il est déjà tout pardonné, même s'il n'en a pas trop conscience. Tu bouges un peu, t'installant à califourchon sur lui. Tes mains glissent le long de son abdomen, remontant lentement contre son torse. « Alors tu voudrais rester avec moi ce matin... »  Tu te penches un peu sur lui, détaillant son visage, ce regard sombre que tu aimes tant. « Et tu voudrais que je te pardonne... ça fait quand même beaucoup, tu ne penses pas ? » Et pourtant, tu viens poser un baiser dans son cou. Puis un autre. Tu descends ainsi doucement sur son torse, préférant oublier tout ce qui s'est passé pour juste profiter de l'avoir là, avec toi. C'est rare qu'il ne travaille pas en matinée, c'est même exceptionnel... Et pouvoir le garder plus longtemps avec toi, ce n'est que du bonheur. Tu viens frôler ses lèvres un instant, un drôle de sourire étirant les tiennes... « Je te pardonne... Si tu viens déjeuner. » Et tu lui voles un baiser, te levant joyeusement de là.

Tu réagis... étrangement. Du moins, pas comme quelqu'un qui a presque fini cocu. Peut-être que tu ne veux pas y croire, tout simplement. Que tu l'aimes trop pour réellement lui en vouloir. Tu ne prends pas vraiment le temps de t'habiller, tu enfiles juste un bas de survêtement histoire d'être à l'aise, et tu descends d'un étage pour rejoindre le côté cuisine. Tu récupères les viennoiseries, boissons chaudes et fraîches, et tu viens tout poser sur la table. Même des fruits. Un peu tout ce qui te tombe sous la main et qui pourrait servir pour le petit-déjeuner, en fait. Mais ce n'est pas pour toi, non. Toi, tu sers juste un grand verre de sang, et ça ira très bien. Tu ne sais pas trop pourquoi, et ça relève du détail, mais tu as pris un verre opaque. Avant, tu t'en fichais. Mais tu as pris cette petite manie depuis que tu es avec lui. Comme par... Respect ? Tu ne sais pas trop. C'est peut-être pour éviter de le mettre mal à l'aise, ou de le dégoûter. Une petite attention parmi tant d'autres que tu as attrapées depuis que tu es avec lui... Enfin, tu le laisses s'installer à table, faire ce qu'il veut, pour ta part tu sirotes tranquillement ton verre à la paille. « Donc, qu'aimerais-tu faire de notre matinée tous les deux, hm ? » Tu viens t'asseoir en face de lui, la table vous séparant. Tu ne te lasses pas de l'observer, jamais, non. Tu aimerais imprimer mentalement ses traits, les graver dans ta mémoire. Les avoir pour toujours, si vous devez vivre ce toujours séparément. Mais non, tu vas éviter de tomber dans ce genre de pensées négatives. « Toujours est-il que, si tu veux qu'on sorte, ce sera du côté de Leporem, vu que le jour est levé sur Spes... Qu'est-ce que tu dirais d'aller au cinéma ? Ou au casino. Ou même aller au salon de tatouage, te faire tatouer à quel point tu m'aimes sur le front. » C'est complètement ridicule, mais tu ne te prends pas du tout au sérieux. Et ça te fait d'autant plus rire,quand tu vois un peu de confiture non loin de ses lèvres. C'est avec un grand sourire que tu viens effacer ça du bout du pouce. Et voilà le travail. « Ou on pourrait tout aussi bien rester ici et regarder la télé et ne rien faire de plus que glander sur le sofa... » Tu te relèves, venant le frôler un peu. Et tu te penches dans son dos, tes lèvres près de son oreille. « Ou être beaucoup moins sages, aussi... » C'est un sourire espiègle cette fois, qui se dessine sur ton visage.

Bref, tu files derrière le comptoir, allant laver ton verre vide, jetant la paille à la poubelle au passage. Puis tu essuies ledit verre et tu le ranges, revenant avec ton torchon par-dessus l'épaule pour débarrasser la table, quand il a fini de déjeuner. « Laisse, je m'en occupe. File à tes occupations, petit brun. » Tu lui accordes un nouveau sourire, récupérant la vaisselle à laver, rangeant le reste dans les placards. Et c'est reparti pour une séance de nettoyage, alors qu'il est parti tu ne sais où. Peut-être faire le lit. Ou peut-être à la salle de bain. Qu'importe, tu te concentres un instant sur l'eau qui coule entre tes doigts, sur la mousse qui s'échappe dans l'évacuation. Tu rinces tout et tu entreprends de tout sécher de ranger, histoire de laisser la cuisine propre. Et une fois que c'est fait seulement, tu te décides de le retrouver. Et il est... Dans la salle de bain. Un nouveau sourire, aussi espiègle que précédemment, étire tes lèvres. Tu as ta petite idée de ce que tu vas faire, fidèle à toi même... C'est donc très discret que tu t'introduis dans la pièce. Il est sous la douche, et tout en silence, tu te déshabilles, collant tes affaires avec le reste du linge sale. Une chance qu'il te tourne le dos... Car rapidement, tu te glisses sous l'eau chaude avec lui, venant dans son dos pour l'enlacer, déposant un baiser dans son cou. « Bouh. » Fais-tu, un doux sourire étirant tes lèvres. Mais sa réaction... Il s'écarte. Un peu vivement. Et tu fronces légèrement les sourcils, pas sûr de comprendre ce qui vient de se passer... « Hé, c'est juste moi, ça va ? » Tu restes surpris de sa réaction, même si tu ne le montres pas. On dirait qu'il est... Sur ses gardes, et ça ne lui ressemble pas. Du moins, pas depuis qu'il te sait un peu capable de tout, et surtout de le rejoindre sous la douche. Tu l'observes, essayant de trouver des réponses dans son regard... Quelle curieuse réaction...
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