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 I'm your princess, let me be your wife ♥ Seth

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Andrew F.K. Firearrow
Sing yours emotions, try to live.
Andrew F.K. Firearrow


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♆ race : Sorcier
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MessageSujet: I'm your princess, let me be your wife ♥ Seth   I'm your princess, let me be your wife ♥ Seth Icon_minitimeJeu 6 Mar - 23:40


infernale magie...
Par le sang des loups qui coule dans tes veines, qu'est-ce que ta magie a encore fait comme bêtise ? Tu te regardes dans le miroir sans reconnaître ton image. Bon sang. C'est... Un cauchemar. Quoique. Tu ne sais pas si tu dois rire, aller te coucher ou tout simplement tomber dans les pommes. Ta magie a tendance à suivre tes sautes d'humeur et toi qui adores te déguiser, elle s'amuse de temps en temps à te faire des surprises. Mais là... Non, franchement, là, tu n'y avais encore jamais eu le droit. Incrédule, tu glisses une main dans tes longs cheveux blonds. Oui, longs cheveux blonds. Omg, qu'est-ce qu'il t'est arrivé ? Tu ne sais pas comment t'expliquer une telle situation. Tu es rentré fatigué, tu t'es laissé tomber sur ton canapé et tu t'es purement et simplement endormi, après avoir passé une nuit blanche à enregistrer l'une de tes prochaines chansons. En te réveillant en début d'après-midi, tu as senti de longs cheveux te chatouiller et une sorte de coussin sous ton torse. Étonné, tu es allé voir dans la glace et... Tu as failli tourner de l’œil. Tu es une fille... Tu es... Une fille. Oui oui. Par le sang des loups, franchement, une fille. Et pas trop mal, selon ton propre jugement que tu tentes de faire objectif. AHEM. Voilà près d'une heure que tu observes ce corps qui t'est inconnu, que tu essayes de reconnaître le tien, en vain. Il n'y a guère que la couleur et la texture de tes cheveux, ainsi que la couleur de tes yeux qui n'ont pas changé. Ainsi que les belles marques de griffes dans ton dos, souvenir de ta mère. Tu soupires profondément. Mais qu'est-ce qu'il t'arrive, hein ?

Un profond soupir t'échappe à nouveau. Tu ne peux pas retourner au studio ainsi, tu es prêt à parier que ta voix n'est plus la même. Tu fais le test, chantant doucement. Ta voix est de miel, plus douce que d'ordinaire, un octave au-dessus de ton timbre habituel. Si tu modulais ta voix, tu pourrais peut-être retrouver quelque chose se rapprochant plus de celle que tu as habituellement. Mais tu n'as pas envie, ce serait un effort qui viendrait forcer sur ta voix et qui risquerait de l’abîmer plus que nécessaire. Soupirant profondément, tu vas prendre une douche histoire de te changer les idées. Une douche... OMG. Tu fais ton possible pour ne pas trop regarder ce corps de jeune femme que tu as sur l'instant mais... Au final, cela ne fait que confirmer tes précédentes observations : tu n'es pas trop mal ainsi. Pour peu, tu dirais que tu es jolie. En toute objectivité, évidemment. Ahem. Penser à autre chose... Que faire ? Tu n'en as pas la moindre idée. Rester chez toi jusqu'à ce que ta magie cesse de n'en faire qu'à sa tête et te rende ton apparence normale ? Non, hors de question. Tandis que l'eau coule sur ton corps, tu réfléchis. Et, finalement, ton regard se porte sur ton alliance. Un doux sourire étire alors tes lèvres... Tu as trouvé ce que tu allais faire.

Sortant enfin de l'eau, tu enveloppes tes longs cheveux dans une serviette avant de te sécher et d'envelopper ton corps dans une autre. Tu traverses alors toute la demeure jusque dans une chambre pour invités. Accessoirement, c'est aussi une pièce où tu ranges tes déguisements. Mais ta cousine est déjà venue ici, tu as toujours des affaires de rechange pour elle. À première vue, tu fais à peu près la même taille qu'elle alors ses vêtements devraient t'aller... Sauf que lorsque tu vois ce qu'il y a chez toi, tu éclates de rire. OMG, ta voix est étonnamment cristalline... Un short très court, un tee-shirt, en soutien-gorge en dentelle couleur chaire, idem pour la culotte... Tu as envie d'aller pleurer. Non, sans blague, c'est quoi cette tenue ? Elle n'a rien de plus chaud chez toi ? Non, c'est vrai que le chauffage est toujours réglé assez haut dans tes demeures... Soupirant profondément, tu enfiles donc les quelques affaires, fouillant un peu pour enfiler en supplément une paire de chaussures à talons. Au moins, celles-là, tu as l'habitude de les mettre. Sans commentaire. Lorsque tu te sens prête, tu vas chercher une écharpe, accessoire indispensable pour toi qui garde la manie de masquer ton cou, évitant ainsi toute remarque à propos de la cicatrice qui l'orne habituellement. C'est bien vêtue de cette manière que tu quittes ta demeure, direction la capitale.

Tu connais par-cœur le chemin à emprunter. Tu l'as fait tant et tant de fois que, les yeux fermés, tu pourrais le refaire. Où te rends-tu ? Dans un immeuble, dans un appartement qui se trouve à son sommet. Chez un certain brun dont tu as hâte de voir la tête. Un certain brun qui te manque affreusement mais que tu veux absolument faire profiter des bêtises de ta magie. Oui, tu penses bel et bien à Seth. Tu veux absolument voir la tête qu'il va faire en te voyant. S'il te reconnaît, évidemment, et rien n'est moins sûr. Tu te fais siffler à plusieurs reprises dans la rue, cela te fait rire. Dans certains cas, tu adresses aux garçons quelques clins d’œil avant de filer en sautillant. Lorsque tu débarques dans l'appartement, tu souffles un baiser au concierge qui te dévisage, ahuri, avant que tu disparaisses dans l'ascenseur. Tu ris en avance de la tête que ton cher brun va faire... Lorsque les portes s'ouvrent, tu te faufiles rapidement dans le couloir, jusque devant sa porte. Une seconde, tu hésites. Est-il chez lui ? C'est un pari que tu prends. Tu toques alors à sa porte, doucement, d'une manière très... Féminine, oui. Omg. Tu as envie de rire tout autant que tu as envie de disparaître. Et lorsqu'il ouvre la porte, tu lui adresses ton plus beau sourire.

-Bonjour beau brun.

Tu accompagnes tes paroles d'un clin d’œil amusé. Hé bien Seth, rentre ta langue as-tu envie de dire. Tu veux vraiment rire, même si tu sais déjà qu'il n'a pas la moindre idée de qui tu es. Il faudrait peut-être que tu lui donnes un indice, non ? Oui, sans doute... Mais lequel ? Tu réfléchis une petite seconde... Avant de sourire un peu plus. Sans dire un mot supplémentaire, tu viens glisser tes doigts sur ses joues, sur sa nuque, frôler ses lèvres... Puis tu l'embrasses, purement et simplement. Miam, en tant que homme ou femme, ses lèvres à lui ont toujours le même goût. Tu l'aimes. Et tu sens un peu d'hésitation de sa part... Et pourtant il te répond. Heu... Bon, tant qu'à faire, tu en profites un peu pour prolonger le baiser, juste un peu, fermant les yeux... Puis tu te recules... Et lui accordes la gifle du siècle. Non mais. Tu fais profondément la moue, reculant, les bras croisés sur ta poitrine.

-Si c'est comme ça que tu accueilles les inconnues, Sucrerie, je ne veux même pas savoir combien ont fini dans ton lit depuis que tu es ici.

Oui, tu boudes. Tu doutes très sincèrement qu'il ait compris qui se cache derrière les beaux yeux de la demoiselle que tu es actuellement. Alors tu lui fais la tête, parce que c'est exactement comme s'il t'avait trompé. Bon, un peu avec toi-même mais quand même. Sur ce, tu te détournes d'un coup, faisant voltiger tes longs cheveux blonds derrière toi, d'une manière totalement naturelle. Crétin. Oui, crétin. Dire que tu es venue exprès pour lui qui t'appelle toujours princesse, pour une fois que tu pouvais lui donner raison...
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Seth-Wilee F. Jakotrov
♆ my life is fifty-fifty.
Seth-Wilee F. Jakotrov


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MessageSujet: Re: I'm your princess, let me be your wife ♥ Seth   I'm your princess, let me be your wife ♥ Seth Icon_minitimeVen 7 Mar - 20:45



baby came home today.
Tu regardes les bleus sur ton corps. Tu grimaces légèrement. Et une fois de plus, tu te fais la réflexion que tu devrais arrêter l'entraînement. Tu n'es plus en état de te battre. Pas tant que tu seras vraiment remis sur pied, et tu le sais très bien. Un de ces quatre, tu vas prendre un sale coup, et tu ne te relèverais pas. Dans le meilleur des cas, tu finirais dans une chambre d'hôpital, et ça, tu préférerais éviter. Tu y passes déjà bien trop de temps à ton goût, avec cette maladie récemment découverte et tout ce qui en découle, tu n'as pas envie d'y habiter non plus. Alors oui, tu devrais arrêter le combat libre. Le temps de guérir, si tu y parviens. Mais tu ne veux pas. Ce sport, c'est un peu tout ce qui te reste, à côté d'Andrew. Tu sens que tu es moins performant qu'avant toutes ces douleurs dues à la maladie, et ça t'énerve plutôt qu'autre chose. Tu as un titre à conserver, des promesses à honorer, des compétitions auxquelles tu dois participer. Ce n'est pas une question de popularité, d'avoir la côte auprès des supporters, non. Ça, c'est secondaire à la limite. C'est toi, mentalement, toi qui ne supportes tout bonnement pas l'échec. Alors t'agenouiller comme ça, donner tes titres sans même chercher à te battre pour les conserver... Non, tu ne peux tout bonnement pas. Mais tu sais. Tu sais très bien qu'à un moment où à un autre, tu devras faire un choix. Choix que tu aurais dû faire depuis quelques temps déjà, certes... Mais à chaque fois c'est la même histoire ; tu essayes de te dissuader de te rendre au gymnase, mais tu y vas quand même, sans résister outre-mesure. Quel crétin... Et tu t'y éclates toujours autant, c'est ça le pire. Même si les coups deviennent un peu plus durs à encaisser, même si des fois, tu en viens à te demander si tu ne fais pas une erreur... Tu continues, coûte que coûte. C'est ça, d'être passionné. C'est en vouloir toujours plus, au péril de sa propre santé des fois. Être passionné... Voilà qui te fait penser à Andrew, qui doit encore travailler d'arrache-pied sur ses prochains morceaux. Tu n'as jamais vu quelqu'un se tuer autant à la tâche que lui. Toujours à la recherche de la perfection, de l'originalité... heureusement qu'il n'est pas aussi exigeant avec toi qu'avec sa musique, sinon, tu serais déjà mort, ou tu aurais déjà pris la fuite sur une île lointaine. Sérieusement, s'il était aussi perfectionniste avec toi.. Non, tu ne veux même pas l'imaginer. Enfin. Un bref soupir s'échappe d'entre tes lèvres, et tu secoues un peu la tête, attrapant plutôt un petit pot de pommade dans un placard.

Sur ce, tu reviens dans le salon, fredonnant un air de musique que tu as entendu plus tôt à la radio. Et en parlant de radio, tu passes à côté, et tu ne résistes pas à l'envie de l'allumer. C'est peut-être un peu fort non ? Rien à faire, c'est l'après-midi, personne n'est censé dormir à cette heure là. Et tu fais ce que tu veux d'abord, tu es chez toi. Alors c'est à fond qu'un morceau comme we found love passe et résonne dans tout l'appartement. Ta voix vient parfois se caler de manière purement ridicule sur celle de la chanteuse, alors que par moments, c'est juste la danse qui te prend. Non mais wtf, c'est du grand n'importe quoi. Pour changer un peu... Enfin, ton but premier, c'est quand même d'étaler un peu de baume sur tes hématomes, alors entre deux pas de danse, c'est ce que tu fais, faisant tout de même attention à ne pas trop appuyer. Parce que mine de rien, ça fait mal ces petites taches bleuâtres. Quelqu'un frappe à la porte, mais tu ne l'entends pas tout de suite. Et c'est baissant un peu le volume de la musique que tu entends cette fois. Ah, heu. Tu y vas comme ça, torse-nu ? Bah, tant qu'à faire. Tu reposes le pot sur le comptoir, t'approchant plutôt de la porte que tu ne tardes pas à ouvrir. Porte qui s'ouvre sur... Une délicieuse petite blondinette. Qui n'est pas Andrew, en réalité. Mais, elle a la couleur de ses yeux, de ses cheveux, et... Tu la regardes de manière presque trop suggestive, quand tes yeux la balayent de haut en bas. Oui, tu restes en bug un instant. « Bonjour beau brun. » Tu arques un sourcil, peinant à la regarder dans les yeux. C'est pas que tu as honte ou quoi, tu es juste captivé sur son corps car, il faut l'avouer elle est plutôt... Pas mal. Tu déconnes, elle est carrément bonne ! Seth, tu connais la sortie. Tu ouvres la bouches pour dire quelque chose, mais en fait, tu la refermes quasi-immédiatement, te contentant de la regarder en silence. Et voilà que... Elle vient t'embrasser ? Mais wtf. Tu restes en bug un instant, hésitant à lui répondre... Bon sang, c'est mal. Tu ne devrais pas, tu es casé, tu aimes Andrew et plus que tout, tu es fidèle. Oui mais ça te fait mal au cœur de repousser une si douce et innocente créature. Douce et innocente ? Mon c*l oui. Alors tous comptes faits, tu fermes les yeux, lui répondant. Oui, tu en profites. Oui, tu ne devrais pas.

La blonde finit par te relâcher, et tu retrouves un joyeux petit sourire, avant de te recevoir une gifle monumentale. Tu tournes la tête sous la violence du coup, glissant une main sur ta joue... Aïe ! Mais c'est qu'elle t'a fait mal ! Tu fronces les sourcils, un peu perdu pour le coup. Ça veut dire quoi cette scène ? « Si c'est comme ça que tu accueilles les inconnues, Sucrerie, je ne veux même pas savoir combien ont fini dans ton lit depuis que tu es ici. » Tu fronces d'autant plus les sourcils, à la fois frustré et agacé. Sérieux, elle t'embrasse pour t'en coller une par la suite ? Non mais franchement, où va le monde ! Non seulement tu ne la connais pas, en plus, elle joue comme ça avec toi ? Pff. Pathétique. « Tu veux savoir, j'ai perdu le compte ! » Fais-tu presque moqueur à son attention. Et toc. Bien fait pour toi, blondie. Omg Seth si tu savais à qui tu viens de dire ça... Et tu finis par tilter plus ou moins, écarquillant les yeux d'un coup, alors que la demoiselle s'éloigne dans le couloir. Minute. Sucrerie... Il n'y a que Drew pour t'appeler comme ça. Que Drew qui sait que tu habites ici. Que Drew qui a de si beaux yeux et... La couleur de ses cheveux, sa manière de faire la moue... Tous ces éléments, c'est beaucoup trop pour une simple coïncidence. Tu te mords un peu la lèvre, et en fait, tu trottines à travers le corridor, arrivant près d'elle. « Hé, attends une seconde ! » Mais à peine arrive tu derrière elle qu'elle se retourne et te gifle violemment, sur l'autre joue. Hé ! Mais faudrait qu'elle arrête un peu ! Elle compte certainement repartir, et tu dois trouver quelque chose pour la retenir mais... Oh et puis zut, même si tes théories ne sont pas fondées, tu fonces. « Andrew mais arrête de me frapper bon sang ! » Fais-tu. Et sans attendre une minute de plus, tu glisses tes mains sur ses joues, te penchant un peu sur elle pour la regarder droit dans les yeux. Bon sang, ce bleu-vert... C'est juste trop flippant. Tu n'as aucune idée de ce qui se passe, et ça ne t'étonnerait pas que ce soit une blague ou un coup d'Andrew. Et si c'est le cas, c'est vraiment bizarre et vraiment... De très bon goût. C'est cela oui, arrête de fantasmer sur cette fille. « C'est vraiment... Toi ? » Tu arques un sourcil, à la fois perturbé et intrigué... Andrew en fille. Mais pourquoi est-ce qu'il se serait transformée en fille... Tu te pinces un peu les lèvres pour ne pas rire, mais finalement, c'est plus fort que toi. Tu te recules légèrement, et tu te mets à rire, essayant pourtant de te calmer. C'est dur. Surtout à le voir bouder comme il le fait c'est... Trop difficile de résister. « Oh mais c'est pas... Comment est-ce que... C'est possible ? » C'est bel et bien une lueur d'amusement qui traverse ton regard. Andrew est une jeune fille. Enfin, ça, tu n'en as pas encore la preuve formelle mais... Il y a trop d'éléments qui collent, trop de détails qui s'assemblent et te crient que oui, c'est bien l'homme de ta vie, dans le corps d'une jeune femme qui a plus des allures de mannequin qu'autre chose. En fait, tu aimerais... Roh mais non, tu ne peux pas, ça ne se fait pas... Et zut, tu ne résistes pas plus longtemps, venant tout bonnement l'embrasser. Mais c'est assez bref, en réalité, puisque tu te recules déjà. Non c'est trop bizarre. Et puis tu n'es pas sûr à deux cent pour cent qu'il s'agisse d'Andrew... Qui te baffe mollement soit dit en passant. Un nouvel éclat de rire t'échappe. Si, c'est Drew. Ce n'est pas possible autrement. Ses réactions, ses expressions... Tu ne réfléchis pas plus, et tes mains passent rapidement derrière ses cuisses, et tu la soulèves, la portant contre toi. C'est dingue ce qu'il a perdu du poids, d'un coup. Un large sourire étire tes lèvres et tu lui voles un baiser, l'entraînant plutôt vers ton appartement. « T'as vraiment cru que t'allais t'enfuir comme ça, princesse ? » Héhé. Et c'est plus que jamais vrai.
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Andrew F.K. Firearrow
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MessageSujet: Re: I'm your princess, let me be your wife ♥ Seth   I'm your princess, let me be your wife ♥ Seth Icon_minitimeVen 7 Mar - 23:32

C'est bon, il ne veut pas un coup de main non plus ? Non, parce que vu la manière dont Seth t'observe, tu as l'impression d'être un bout de viande tout particulièrement appétissant. Ou toi-même, avec une belle boule de crème glacée en train de fondre sur ton ventre. Sans commentaire. En temps normal, tu es flattée lorsqu'il pose un tel regard sur toi mais moins cette fois, même si tu te fais charmeuse. Il a l'air d'un poisson hors de l'eau, avec sa bouche ouverte... Tu as tout de même envie de rire. Hé bien, tu lui fais de l'effet, c'est le moins que tu puisses dire. Mais ce n'est pas le tout de le regarder baver sur ton corps de demoiselle, il faut que tu lui fasses comprendre qui tu es. L'idée qui te traverse l'esprit n'est certes pas la meilleure, mais pourtant tu la mets à exécution. Tes doigts glissent sur ses joues, sur sa nuque et, sans prévenir, tu l'embrasses, fermant les yeux. Miam. Tu aimes tant ses lèvres, elles sont si captivantes, si, si... Quel bonheur. Surtout qu'il te répond, après un instant d'hésitation. Minute... Il te répond ??? Il embrasse une parfaite inconnue alors qu'il est casé ? Voilà qui te plaît moins, parce que tu as l'impression de sentir un poignard s'enfoncer dans ton cœur. Il est littéralement en train de te tromper. Alors tu le laisses profiter encore un peu de tes lèvres sur les siennes avant de te reculer, de le regarder sourire... C'est sur ces faits que tu lui accordes la gifle du siècle. Non mais. Tant mieux si tu lui as fait mal, il l'a mérité. Tu ne veux même pas savoir à combien de filles il a pu faire un tel accueil, tu n'aurais pas dû venir.

Il a perdu le compte ? Tu le foudroies du regard, sentant un nouveau poignard s'enfoncer dans ton cœur. Se rend-t-il compte de combien il te fait du mal ? Non, certainement pas. Tu es furieuse, tu sens ta magie commencer à faire vibrer l'air ambiant... Alors afin d'éviter toute catastrophe, tu fais vivement demi-tour, faisant voltiger tes longs cheveux blonds derrière toi. Qu'il aille se trouver une peluche et qu'il s'en contente, tu ne reviendras pas de sitôt. Dire que tu voulais profiter un peu de la bizarrerie de ta magie... Très mauvaise idée. Tu l'entends pourtant te courir après, te demander d'attendre. Quoi, il veut que tu lui accordes un peu de ton temps après le coup qu'il t'a fait ? Il se cherche un bon coup pour passer le temps en l'absence de son petit-ami ? Non, hors de question. Lorsqu'il est trop près de toi, tu te retournes vivement et le gifle à nouveau de toutes tes forces, sur l'autre joue. Pas un mot, ton regard noir est suffisamment expressif selon toi. Puis tu te détournes à nouveau, avec la ferme intention de le laisser là, en plan, au milieu du couloir. Sauf qu'un mot, un prénom t'arrête. Andrew... Il vient de dire Andrew... Aurait-il compris ? A-t-il deviné qui est cette jeune femme qui l'a embrassé ? Il glisse ses mains sur tes joues, mais tu les lui retires vivement.

-J'arrête si je veux. Tu m'énerves !

Oh que oui, il t'énerve. Et tu le boudes profondément, gardant ta fameuse moue accrochée au visage. Tu ne le regardes même pas, tu veux qu'il te laisse. Tu as mal au cœur à cause de lui. Cependant, comme il t'observe et qu'il t'attire toujours autant, tu ne peux t'empêcher de finir par plonger ton regard au fond du sien... Ces deux noisettes qui lui servent de prunelles... Ces deux noisettes que tu aimes plus que tout... Roh, non, ne pas divaguer, tu es censée le bouder, souviens-toi. Oui, mais c'est Seth et tu as toujours énormément de mal à lui faire la tête. Surtout à voir l'état lamentable dans lequel il est. Il a encore dû aller se battre. Il va falloir que tu t'occupes de son cas, que tu fasses disparaître les bleus. Ah la la... Non, tu ne changeras pas, ton regard reste un peu trop longtemps fixé sur ses blessures. Jusqu'à ce que tu manques de sursauter quand sa voix se fait à nouveau entendre. Si c'est vraiment toi ? Tu arques un sourcil. Hé bien, ce n'est pas visible ? Ah, c'est vrai, non. Même si tu as gardé tes cheveux blonds, tes yeux bleu-verts, certaines de tes mimiques et ton comportement habituel, tu ne ressembles pas vraiment à la superstar Andrew Firearrow que tout le monde connaît. Tu gardes ta moue.

-Oui, c'est moi... Je sais, c'est bizarre.

Très bizarre même. Mais ne devrait-il pas être habitué depuis le temps, avec tes nombreux déguisements ? Certes, tu n'étais jamais allé aussi loin, encore moins volontairement, mais tout de même... Enfin, voilà. Oui, c'est vraiment toi. Oui tu es une fille. Oui, tu es devenue une blondinette. Et après ? Est-ce une raison pour te baver dessus comme il l'a fait ? Oui, sans doute un peu... Mais tu boudes d'autant plus quand il se met à rire en te regardant. Ah, parce qu'en plus, il trouve cela drôle ? Pas toi. Enfin... Si, un peu quand même, au début. Oui, bon, tu avoues, c'est drôle. Mais tu lui fais quand même la tête. Non mais. Comment est-ce possible ? Tu te contentes de hausser les épaules. Omg, qu'est-ce que ce simple geste peut devenir sexy quand ton alter-ego féminin le fait... Ahem. Tu ne sais pas comment ni pourquoi. C'est ainsi, tu ne pourras rien y changer tant que ta magie n'aura pas décrété qu'il sera temps de te faire redevenir un homme. En attendant, tu le boudes. Enfin... Jusqu'à ce qu'il vienne t'embrasser. Tu ne lui résistes pas, fermant plutôt les yeux pour mieux lui répondre... Oh Seth, ton Seth d'amour... Le baiser est trop court, ce qui fait que tu suis le mouvement lorsqu'il recule, jusqu'à ce qu'il soit trop loin pour toi... Alors tu rouvres les yeux afin de le gigler mollement.

-Crétin... souffles-tu.

Qu'il continue à rire si cela lui plaît. Mais ses mains passent derrière tes cuisses et il te soulève, sans prévenir. Un léger cri de surprise – très féminin – t'échappe alors tandis que tu passes tes bras autour de son cou, t'agrippant à lui. Mais, mais... Qu'est-ce qu'il fait ? Ah, à voir sa tête, il compte te ramener à l'appartement. Tu te colles alors à lui, sentant des nouveaux attributs s'écraser doucement contre son torse. S'il veut jouer, vous allez jouer. Surtout qu'il te vole un baiser. Mais heu ! Une nouvelle fois, tu fais la moue. Sale gosse. Oui oui, sale gosse. Si tu as cru pouvoir t'enfuir comme ça ? Heu... Oui ? Hééé ! Princesse. Tu lui tires la langue, de la manière la plus puérile qui soit, avant de venir l'embrasser à pleine bouche. S'il croit pouvoir te dominer parce qu'il te porte, il se fourre le doigt dans l’œil. Le baiser est passionné et doux à la fois, comme si souvent de ta part. Il a beau t'énerver, il a beau être un sale gosse, il a beau avoir tout plein de défauts, tu l'aimes alors tu peux presque tout lui pardonner... Mais il te faut bien respirer, alors tu te recules, à contre-cœur, au moment où vous passez le seuil de l'appartement.

-La princesse n'est pas une poupée, mon petit chocapic. Je sais marcher tu sais, même avec des chaussures à talons. Mais tu le sais déjà, n'est-ce pas ?

Ton regard est charmeur, aguicheur, tes mots se déposent juste sur ses lèvres d'une manière limite provocatrice... Oh la la, si tu commences à la jouer femme fatale, le pauvre va en voir de toutes les couleurs. Ahem. Andrew, tu sors. Il te lâche enfin, parce que quand même, tu ne vas pas jouer les poupées non plus. Et puis, oui, il sait que tu as l'habitude des chaussures à talons. Tu as déjà essayé quelques paires en plein magasin, sous ses yeux, ou alors tu t'es ramené en fille à son appartement, ou quelques-uns de tes amis ont dû lui raconter le nombre de fois où ils se sont foutus de toi alors que tu essayais les chaussures de ta cousine. En bref, il y a de nombreuses anecdotes à raconter sur toi et les chaussures à talons. Sans lui laisser le choix, tu reviens l'embrasser avec fougue et, doucement, tu le fais reculer. Tu connais ton appartement par-cœur alors tu n'as pas le moindre problème à le faire retomber sur le canapé. Et toc. Enfin, tu le laisses un peu se remettre du choc, ayant une triste pensée pour son dos. Mais ce répit ne dure pas. Non, au contraire, tu t'avances au-dessus de lui, à quatre pattes, et viens t'asseoir sur son ventre. Tes mains se posent sur son torse nu, tu actives ta magie qui vient alors légèrement réchauffer son dos, dans l'espoir de le soulager... Mais rien de plus. En même temps, tu appuies quelque peu sur ses bleus, limite sadique.

-Alors dites-moi, Monsieur Jakotrov, on embrasse les inconnues et on les invite dans son lit en absence de son petit ami ? Voilà qui est tout sauf sympa pour lui...

Ta voix est chargée de reproches. Tu lui en veux pour sa réaction, pour ces paroles qu'il a eues. S'il ne te démontre pas qu'il plaisantait, qu'il te reste fidèle, il y a des risques pour que tu le laisses en plan avant de trop craquer pour lui, même si ce sera dur. Tu peux tolérer beaucoup de choses mais pas l'infidélité. Pas de sa part, tu l'aimes trop pour le laisser à quelqu'un d'autre. Mais si cela se révèle être mieux pour lui, tu le laisseras partir... En attendant, tu sais qu'il a besoin de toi et toi de lui, alors tu ne comptes pas le laisser faire de bêtises. Tu veux bien être sa princesse, voir bien plus encore. Sa reine s'il te le demande. Mais qu'il te montre juste qu'il en est digne, puisque tu sais qu'il l'est. Tu n'as besoin que d'un peu d'amour de sa part... De la part de ton sale gosse préféré que tu aimes du plus profond de ton cœur même s'il t'a limite trompé avec toi-même.
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Seth-Wilee F. Jakotrov
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MessageSujet: Re: I'm your princess, let me be your wife ♥ Seth   I'm your princess, let me be your wife ♥ Seth Icon_minitimeSam 8 Mar - 22:57

« J'arrête si je veux. Tu m'énerves ! » Fait-elle, retirant presque vivement tes mains de ses joues. Tu ne peux réprimer ce large sourire qui s'étend sur tes lèvres. C'est Andrew. Cette fille. Est. Andrew. Ton petit-ami, ton mari, c'est... Une jeune et jolie demoiselle. C'est confus dans ton esprit, autant que cela te donne envie de rire. Vraiment, mais qu'est-ce qui a bien pu se passer ? Tu restes dubitatif, à la fois curieux et amusé par la situation. Qu'est-ce qu'il a encore fait hein ? Tu n'es pas sûr de vouloir savoir. Peut-être qu'il est mieux que tu ignores la raison de ce brusque changement, mais quelque part, tu te dis que c'est certainement sa magie qui a encore fait des siennes. Elle boude, et ça te fait d'autant plus sourire. C'est qu'elle est mignonne la petite, quand elle fait la moue. Elle esquive ton regard, mais pas bien longtemps au final, puisque tes yeux croisent les siens au bout d'un moment. Ses beaux yeux bleu-verts... définitivement, ça ne peut être qu'Andrew. À sa manière de s'exprimer, de se comporter... De bouder, de te regarder. Tu sais qu'il ne peut pas te faire la tête bien longtemps, tout autant que lui le sait. Le silence retombe un court instant, et tu reprends la parole. Est-ce vraiment lui ? Tu en es presque sûr, mais en même temps, tu ne veux pas te tromper. Car ça, tu sais que Andrew ne te le pardonnerait pas. D'ailleurs, tu ne te le pardonnerais pas non plus. L'infidélité à tes yeux, est la pire chose qui puisse arriver dans un couple. Alors aller voir ailleurs alors que tu es engagé avec lui, ça, jamais. Tu as des principes, et être fidèle en fait parti. Les tentations sont nombreuses pourtant. Mais non. C'est lui que tu aimes. Tu le sais, et jamais ça ne changera, du moins, tu oses l'espérer. Elle reste fixée sur toi un instant, mais tu captes bien vite son regard, à nouveau. « Oui, c'est moi... Je sais, c'est bizarre. » Tu souris un peu plus encore. Alors c'est bien lui... Tu n'en reviens pas vraiment. Mais tu te fais une raison ; c'est sûrement sa magie qui lui joue des tours, encore. Et puis, tu dois avouer que son alter-ego féminin est... Plutôt pas mal dans son genre, en réalité. Tu te mords légèrement la lèvre, et c'est presque un exercice difficile de la regarder dans les yeux, alors que son corps t'attire irrésistiblement. Oui, t'es bien un mec hein. Et on ne te changera pas, faut croire. Il faut dire que.. Tu es habitué à ses blagues. Qu'il se ramène habillé en princesse, en policier et tu en passes des pires et des meilleures, ça, tu as l'habitude. Mais c'est la première fois que tu observes un tel changement chez lui. Alors qui peut te blâmer, de l'épier ainsi, sans aucune discrétion ? C'est plus fort que toi, tu te mets à rire de nouveau, essayant pourtant de te calmer. Tiens, d'ailleurs, peut-être que si tu l'embrasses... Tu fermes un peu les yeux, et c'est avec plaisir que tu constates qu'elle répond à ton baiser. Andrew... Ton Andrew... Ou plutôt ta, désormais. Mais tu te recules bien vite. C'est trop dur de ne pas rire. Andrew est une demoiselle... Et aussi belle soit-elle, c'est terriblement perturbant. Enfin, tu vas bien finir par t'y faire, hm ? Elle te gifle mollement, et c'est difficilement que tu restes calme, à sourire. Elle est... Magnifique. Autant que lui l'est, quand il n'a pas un corps de femme. Encore une fois, tu la détailles de la tête aux pieds. « Crétin... » Tu souris franchement, venant plutôt lui voler un baiser. « Non, tu m'aimes. » Et toi aussi tu l'aimes. Tu l'aimes tellement, ton Andrew... Cheveux longs ou courts, dans le corps d'une jeune femme ou d'un jeune homme... ça n'y change pas grand chose à tes yeux, il reste Andrew, il reste l'homme que tu aimes. Ton homme, ton époux, ton quotidien. Celui que tu ne quitterais pour rien au monde.

Ce petit cri qui lui échappe te fait sourire de plus belle, alors que tu la soulèves contre toi. Et après, elle veut que tu gardes un minimum de sérieux ? Voilà qui devient de plus en plus dur. Tu souris un peu plus quand ses bras se referment autour de ton cou, lui empêchant une chute certaine. Bah, tu ne comptais pas la laisser tomber de toute façon, la pauvre. Alors tu l'entraînes vers ton appartement. Où est-ce que vous pourriez bien aller d'autre hein ? Tu es un peu torse-nu, alors si elle veut sortir, d'accord, mais tu veux récupérer un haut avant. Enfin, au passage, tu lui fais comprendre qu'elle n'allait pas s'échapper aussi facilement, si c'est ce qu'elle espérait. Le doux surnom de princesse la fait réagir, puisqu'elle te tire la langue. Voilà qui ne t'étonne pas venant d'Andrew, et un éclat de rire t'échappe, avant qu'elle ne vienne te rouler le patin du siècle. Ah, madame veut jouer les femmes fatales ? La grande dominante ? Ça t'amuse plutôt qu'autre chose, et tu lui réponds sur le même registre. Héhé, on joue avec toi, tu n'as pas d'autre choix que de répondre. Surtout que tu es un très mauvais perdant, alors, qu'elle se prépare mentalement à perdre, car il n'y a qu'une seule issue pour toi ; celle de la victoire. Cette perspective t'amuse plus que tout d'ailleurs. Enfin, vous passez le pas de la porte, et alors qu'elle relâche tes lèvres, une de tes mains pousse sur la porte, la refermant au passage. « La princesse n'est pas une poupée, mon petit chocapic. Je sais marcher tu sais, même avec des chaussures à talons. Mais tu le sais déjà, n'est-ce pas ? » Tu ris un peu à nouveau. C'est vrai, même en tant que garçon, il sait marcher avec des stilletos... Tu l'as déjà vu faire en plein milieu d'un magasin. Car oui, Drew est avant tout... Un peu original. Mais c'est comme ça que tu l'aimes. Avec ses bêtises et ses idées, c'est de lui tout entier que tu es tombé amoureux. Mon petit chocapic... Ce surnom te fait toujours sourire, en référence à votre première soirée tous les deux. Ou plutôt, premier petit déjeuner, si on peut appeler cela ainsi. Tu la laisses finalement descendre, pas qu'elle est lourde ou quoi, mais mademoiselle l'a presque exigé. Et tu sais que tu dois te faire pardonner, alors commence par avoir une attitude presque irréprochable. Quelque chose de bien, c'est qu'avec ses talons, elle est presque à ta hauteur. Et tu n'as pas besoin de te pencher beaucoup pour atteindre ses lèvres. Mais tu n'en fais rien, tu attends simplement. Et elle vient t'embrasser fougueusement... C'est sans hésiter que tu lui réponds, glissant tes mains sur sa taille. C'est tellement étrange... Elle n'a pas la carrure d'Andrew d'un côté. Elle fait tellement plus fragile, que tu te sens presque obligé de faire doucement avec elle. Mais c'est elle qui se montre sauvage. Elle qui te taquine. Alors même si tu fais attention à elle, tu te montres aussi passionné, aussi fougueux dans vos échanges. Elle te fait reculer, si bien que rapidement, tu tombes sur le canapé. Une brève douleur te parcourt le dos, mais c'est assez léger, si bien que tu n'en perds pas ton sourire. Elle vient s'installer sur ton ventre, et tu la détailles simplement, amusé. Elle est magnifique... Oui, et ne te laisse pas dériver. Ses mains glissent sur ta peau, viennent frôler tes bleus sur lesquels elle se décide finalement à appuyer. Tu serres un peu les dents, grimaçant très légèrement. C'est que sa version féminine est plutôt sadique, hm ? Tu penches légèrement la tête, glissant le bout de tes doigts sur ses jambes, doucement.

« Alors dites-moi, Monsieur Jakotrov, on embrasse les inconnues et on les invite dans son lit en absence de son petit ami ? Voilà qui est tout sauf sympa pour lui... » Tu arques un sourcil. Les inviter dans ton lit quand il n'est pas là ? Oh, il parle de ce que tu as dit tout à l'heure, comme quoi tu avais perdu le compte... Tu ne disais pas ça dans ce sens là, encore une fois, jamais tu ne te permettrais de regarder ailleurs alors que tu l'as lui... Avant, tu ne dis pas, mais depuis que tu le connais... Non, jamais tu ne te serais permis, il doit te croire. Tu secoues négativement la tête, te redressant un peu sur tes coudes. Jamais tu n'oserais, vraiment. Tu es fidèle, tu aimes Andrew plus que n'importe qui... Il est le seul, il ne doit jamais douter là-dessus. Tu as balancé ça comme ça, juste parce que tu n'avais pas calculé que c'était lui, et que tu voulais te donner une certaine assurance suite à cette petite scène. Jamais tu n'aurais dit quelque chose de pareil au jeune Firearrow. Tu as dû le blesser plutôt qu'autre chose d'ailleurs... Un bref soupir s'échappe d'entre tes lèvres, alors que tu reprends. « Andrew, vraiment... Jamais de la vie. Tu crois que j'oserais ? Je t'aime. T'as toujours été, et tu seras à jamais le seul, tu le sais... Homme, femme... Tu es celui que j'aime, du plus profond de mon cœur... Ou celle, vu les récents petits changements, hm ? » Fais-tu, alors qu'un tout nouveau sourire doux se dessine sur tes lèvres. Tu es sincère. Jamais tu n'irais voir arrière dans son dos. Jamais. Tu glisses tes mains de ses jambes à sa taille, et une remonte jusqu'à sa nuque. Tu fais très légèrement pression dessus pour l'attirer à toi, alors que tu lui voles un baiser. Jamais il ne doit douter de toi, tu en serais vraiment blessé. Même si tu peux avouer que pour le coup, la situation pouvait prêter à confusion... Tu l'as peut-être trompé un peu, mais c'était avec lui même. Alors bon... ça ne compte pas vraiment. « Je t'aime... » Souffles-tu contre ses lèvres, lui volant un nouveau baiser. Elle est la seule et l'unique, elle l'a toujours été. Puis, tu l'embrasses, tout simplement. Tu glisses une main sur sa nuque, dans ses cheveux blonds, tandis que l'autre passe doucement dans son dos, passant sous son tee-shirt. Tu l'aimes par-dessus tout. Parce qu'elle te fait sourire, rire. Parce qu'elle illumine ton quotidien, et qu'elle te fait oublier la maladie et tout ce qui peut aller de travers dans ta vie. Tu l'aimes, parce qu'elle a toujours été là. Tu l'aimes, tout simplement. Tu manques de la faire tomber à côté du canapé, et c'est en riant que tu la rattrapes, te redressant un peu. Tu lui voles un énième baiser, et tu te relèves l'invitant à en faire autant. « Et, hm, si je me souviens, tu as dit d'embrasser des inconnues et de les emmener dans mon lit... Il me semble qu'on a pas encore mis en pratique la seconde étape... » Je n'aurais qu'un mot à dire ; coquin. Sérieux, tu ne peux pas tenir en place, tranquille, plus de dix minutes quand il est dans les parages ? Apparemment pas. Encore moins dans ce corps. Tu es juste... Terrible. Franchement. Encore une fois, tu l'embrasses, et tes mains glissent sur sa taille, alors que tu attrapes son tee-shirt pour l'en débarrasser. Ça de moins, hinhin. Mais quel... Non, il n'y a même pas de mot. Toujours est-il que tu l'entraînes dans l'appartement, à travers le couloir, vers une destination que vous connaissez tous les deux d'avance. Mais vraiment Seth... Y'a pas de mot, en effet. La porte de ta chambre est grande ouverte, et à vous plaquer au mur l'un l'autre, quand vous y arrivez, vous avez déjà perdu bien des vêtements. Ça te fait tellement bizarre. Drew est une fille. Et tu peines encore à réaliser. Mais si c'est ton homme, alors c'est fille est ta femme. Et tu comptes bien l'aimer, autant que lui, tu peux l'aimer. Hinhin.

Voilà trois heures que tu es réveillé, et derrière les fourneaux. Pourtant, tu n'es pas vraiment lève-tôt, pas après une telle nuit qui, on peut le dire, t'a crevé. Enfin, tu es loin de t'en plaindre, vu ce que tu en as fait, plutôt que de dormir... Bon, on se passera de détails hein. Toujours est-il que, tu as pris ta douche, tu es habillé et en train de cuisiner. Alors qu'Andrew, hé bien... Elle dort encore profondément. Elle... ça te fait toujours aussi bizarre de dire elle, et pas il. Enfin, tu vas bien finir par t'y faire. Tu siffles un peu, continuant tes petites préparations de manière sérieuse et minutieuse. Tu fais attention aux moindres détails, de la manière dont tu coupes tel aliment, au temps qu'un autre reste dans le four. Tout est précis, tu es plutôt appliqué quand tu t'y mets. Enfin... Tu aurais l'air vraiment impressionnant si tu cuisinais de la grande gastronomie, si le plat était d'une difficulté incroyable. Tout ce que tu fais, c'est de la salade, quelques légumes frais, et des crêpes. Ce qui sommes toutes, est loin d'être impressionnant. Enfin, tu t'empresses d'emballer rapidement le tout dans un panier, de quoi faire des sandwichs, des assiettes, des couverts, des verres, de quoi boire, de quoi mettre sur les crêpes de... Tu t'impressionnes tout seul parce que pour une fois, tu penses à tout. Tu as même pensé à prendre une boîte de fraises et autres fruits rouges. Parce que tu sais qu'il adore ça, tout simplement. Toi qui a souvent tendance à oublier ci ou ça... Pour le coup, tout semble parfait. Tu ranges tout dans le panier, et en silence tu quittes l'appartement pour tout déposer dans le coffre de ta voiture. Ça, c'est fait. Alors tu t'empresses de remonter chez toi, rangeant les derniers ustensiles qui traînent. Voilà. Comme si de rien n'était. Tu remontes un peu les manches de ta chemise de skate, et tu viens discrètement jusqu'à dans la chambre... Avant de tout bonnement sauter sur votre lit. « DEBOUT PRINCESSE ! » Fais-tu joyeusement, réveillant la blonde au passage. Tu éclates de rire devant sa tête, et tu viens lui voler un baiser. « J'espère que tu as bien dormi. » Ton sourire s'étire un peu plus encore, et tu glisses une main sur son visage, passant une mèche de ses cheveux derrière son oreille. « Oui ou non, tu as quinze minutes pour prendre ta douche. Et il y a un bikini sur le meuble, tu ferais mieux de le mettre, tu pourrais en avoir besoin... Parce que j'ai une surprise pour toi. Mais quinze minutes, pas plus ! Et si tu as besoin de vêtements, bah... Mon dressing est ouvert, tu le sais. » Tu lui voles un nouveau baiser, et c'est toujours aussi heureux que tu disparais de la pièce. Certes, c'est un réveil un peu brutal, tu sais... Mais tu es heureux. Juste joyeux de savoir qu'elle est là. Et cette surprise, tu as tout préparé, de A à Z... Tu aimerais vraiment que ça lui fasse plaisir. Parce que quelque part, tu veux te faire pardonner pour hier. Et d'autre part, pour une fois que tu peux passer du temps avec elle... Tu attrapes tes lunettes de soleil, un bout de papier et un feutre noir, avec lequel tu écris rapidement ton message. « Quinze minutes, sinon, je pars sans toi. Les clés son sur le comptoir. Je t'attends en bas. Fait vite princesse. » Papier plié, tu le glisses sous la porte de la salle de bain, et tu disparais de l'appartement. Tu descends les nombreux étages par la escaliers, jusqu'à arriver dehors, hors du bâtiment. Ta voiture vous attend là, et tu t'appuies un peu contre le capot, bras croisés, guettant l'heure par moment. Tout ça, c'est pour elle. Ou pour lui, tu ne sais plus trop. Qu'importe. Tu l'aimes tellement. Et il faut dire que tu as plutôt hâte d'aller à la plage, aussi, surtout en sa compagnie.
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Andrew F.K. Firearrow
Sing yours emotions, try to live.
Andrew F.K. Firearrow


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MessageSujet: Re: I'm your princess, let me be your wife ♥ Seth   I'm your princess, let me be your wife ♥ Seth Icon_minitimeDim 9 Mar - 21:42

Oui tu l'aimes, bien sûr que tu l'aimes, même si tu viens de le traiter de crétin. Si tu ne l'aimais pas, tu ne serais pas là. Tu le laisses donc te voler un baiser avant de lui tirer la langue. Non mais. S'il croit pouvoir t'amadouer aussi facilement il... A tout à fait raison. Mais il reste un crétin quand même. Ton crétin préféré, ton homme, ton mari, celui que tu aimes plus que tout au monde, ta raison de vivre. Un doux sourire vient étirer tes lèvres alors que tu le regardes. Tu l'aimes tant... Même s'il t'a fait mal, même si ses mots résonnent dans ton esprit, te blessant à chaque fois. Il ne pensait pas ses paroles, n'est-ce pas ? Il n'est pas ce genre d'homme, il t'aime, il te l'a tant et tant de fois répété, tant et tant de fois rassuré. Il ne peut pas aller voir ailleurs, n'est-ce pas ? Tu ne veux pas y croire mais tu as tout de même mal au cœur. Heureusement, il te distrait bien vite, te soulevant du sol pour t'attirer contre lui. Le cri de surprise qui t'échappe est tout sauf masculin mais tu n'en as rien à faire, t'accrochant plutôt à son cou afin de retrouver ton équilibre. Sale gosse, surtout qu'il sourit encore plus. Mais heu... Tu fais la moue. Qu'il cesse donc de se moquer de toi. Histoire de le faire taire, tu viens plutôt l'embrasser de la manière la plus passionnée qui soit. Et toc. Le mieux dans toute cette histoire, c'est qu'il te répond sur le même registre. Miam... Tu fermes les yeux, en profitant un maximum. Tu sais qu'il va chercher à avoir le dernier mot mais tu ne le lui laisseras pas sans combattre. Il doit bien s'en douter, il te connaît. Vous rentrez dans l'appartement et, enfin, tu te recules, lui faisant remarquer que tu n'es pas une poupée donc tu sais marcher seule. Même avec des chaussures à talons. Pour ne pas dire, surtout avec des chaussures à talons. Ahem. Sans commentaire. Tu descends donc, et tu as bien l'intention de tirer au clair un point qui te blesse profondément : ses propos sur le nombre de filles qu'il a invité dans son lit. Il te faut le mener correctement, et le meilleur moyen de l'amener là où tu veux, c'est de l'embrasser. Ce que tu fais, avec fougue. C'est si bon lorsqu'il te répond... Tu l'aimes tant, ton cher Seth. Tu l'aimes plus que tout au monde. Mais il est si doux avec toi sur le moment, tu ne peux t'empêcher d'en être surpris. Il est si doux... Comme si tu étais une poupée de porcelaine, prête à te briser au moindre mouvement un peu trop brusque. C'est assez étrange comme changement, tu as l'habitude de le sentir plus... Sauvage lorsqu'il est contre toi. Mais tu n'en perds pas pour autant ton objectif : le capané contre lequel tu le repousses, le laissant tomber. Tu t'en veux pour son dos mais comme il n'en perd pas son sourire, tu supposes que la douleur est supportable... Tu t'en veux quand même, c'est pour cette raison que, après t'être assise sur son ventre, tu laisses ta magie aller réchauffer son do, apaisant toute douleur... Tandis que par devant, tu appuies quelque peu sur ses bleus. Toi, sadique ? Non, si peu... Ou juste ce qu'il faut pour qu'il comprenne qu'il t'a blessée. Tes paroles viennent éclairer ce fait. Il secoue négativement la tête, se redressant un peu... Tu ne demandes qu'à croire qu'il ne pensait pas ses paroles, tu n'attends rien de plus... Fort heureusement pour lui, il te rassure. Je t'aime... Ces quelques simples mots réchauffent ton cœur blessé. Oui, tu sais qu'il t'aime. Tu le sais bien mais ses propos peuvent prêter à confusion alors qu'il est le seul pour toi, le seul qui ai pu s'emparer de ton cœur, le seul qui le pourra. Mais ses derniers propos t'arrachent un sourire... Celle qu'il aime... Tes mains remontent doucement, jusqu'à glisser sur ses épaules.

-Essaye de ne pas trop rire, tu pourrais me vexer, Sucrerie... Mais je te crois... C'est juste que, comprends-moi, ça fait mal à entendre sur le moment...

Oui, c'est douloureux. Mais tu places ces mots au fond de ton esprit, les oubliant doucement. Tu sais qu'il est sincère, il peut difficilement de mentir, tu le connais trop bien. Tu frissonnes un peu alors que ses mains remontent le long de tes jambes jusque sur sa taille. Un sourire doux et sincère étire alors tes lèvres tandis que tu le laisses faire, laissant tes propres mains redescendre le long de ses côtes... Tu frissonnes toujours lorsque tu le laisses t'attirer contre lui, te voler un baiser. Ses mains sur ta peau, sa chaleur dans ton dos, sur ta nuque... Tu l'aimes tant, ton Seth... Parce qu'il sait trouver les bons mots pour t'apaiser, parce qu'il est toujours là, parce qu'il te fait rire avec ses bêtises, parce que sa présence te donne des ailes... Tu l'aimes. Tout simplement. Et ces mots viennent se déposer sur tes lèvres en un souffle de sa part... Tu souris d'autant plus lorsqu'il te vole un baiser, avant de réellement t'embrasser. Tu lui réponds alors, fermant les yeux, faisant doucement remonter tes mains jusque sur ses joues... Tu n'as de cesse de frissonner en sentant ses mains se balader sur ta peau. C'est... Tellement bon... Tu te recules un peu, rouvrant les yeux, le regardant... Et tu souffles :

-Je t'aime tout autant...

C'est sincère. Soudain, tu perds un peu l'équilibre et, avec ta maladresse habituelle, manques de tomber du canapé. Heureusement, il te rattrape, t'évitant ainsi une nouvelle chute. Tu ris alors avec lui, t'accrochant à ses épaules alors qu'il te vole un énième baiser. Tu te redresses en même temps que lui, toujours agrippé à lui. Hé bien quoi ? On ne va pas te reprocher te rester avec lui quand même ? Non. Sur ce, tu viens lui voler un baiser étant donné qu'il en a un peu trop en avance à ton goût. Il enchaîne aussitôt. QUOI ??? Les emmener dans son lit ? Vous n'avez pas encore mis en pratique cette seconde étape ? Un éclair d'amusement vient illuminer ton regard bleu-vert alors que tu éclates de rire. Sale gosse. Tu glisses une main dans ses cheveux bruns, viens frôler ses lèvres d'une manière tout particulièrement provocatrice...

-Qu'est-ce que tu attends alors ? fais-tu, tentatrice.

Oooh, Andrew, depuis quand tu te prends au jeu des femmes fatales ? Oui, bon, tu es pareil d'habitude mais tout de même, de la part de la demoiselle que tu es actuellement... Bref, pas le temps de trouver cela étrange qu'il revient t'embrasser, encore. Et tu lui réponds, comme toujours. Tu le laisses te retirer ton tee-shirt, écrasant un sourire moqueur contre ses lèvres alors que tu le laisses découvrir ce nouveau tissu qui masque ton corps. Pendant ce temps, tu te charges de lui retirer son pantalon alors que ton écharpe disparaît bien vite aussi. Tu regardes à peine où il t'entraîne. De temps en temps, tu heurtes le mur, jamais trop violemment. Tu lui mords une ou deux fois légèrement la lèvre, tu le plaques aussi de temps en temps contre le mur, lui rendant la pareille alors que tes vêtements disparaissent au fur et à mesure des secondes qui passent... Pour ne pas dire que, lorsque vous entrez dans sa chambre, vous êtes quasiment nus. Hum, la suite promet... Homme ou femme, tu comptes bien lui prouver que tu l'aimes autant dans les deux cas. Et tu attends la même chose de lui. Les voisins risquent d'avoir à se plaindre cette nuit... Ahem.

~~~

Tu dors merveilleusement bien. Tu dors rarement beaucoup en règle générale, parce que tu as toujours trop de choses à faire, parce que tu as toujours bien trop de travail pour perdre du temps à faire la grasse-matinée. Et pourtant, c'est ce que tu fais ce matin. Tu as fait trop de sport cette nuit pour ne pas être fatigué. On se passera des détails, étant donné que tu es étendus sous les draps, complètement nue, tes longs cheveux blonds formant limite une auréole autour de ta tête... Oui, on a deviné. Il y a quelques heures, tu étais paisiblement installée contre ton homme, bercée par le son de sa respiration, mais depuis qu'il a quitté les draps, tu t'es recroquevillée sur toi-même, un coussin entre tes bras. Il faut bien que tu remplaces ton doudou par quelque chose qui s'y rapproche, non ? Ahem. Soudain, quelque chose saute sur le lit en criant. Tu te redresses d'un coup, en sursaut, le regard complètement perdu. Qu'est-ce qui se passe ? Il y a un grave problème ? Seth est blessé ? Il a cassé son pauvre peigne chocapic que tu lui as trouvé et il faut que tu lui en trouves un autre ? Drew, tu sors. Oui oui, tu sors. Sans trop comprendre ce qu'il se passe, tu regardes Seth, absolument pas réveillé. Il te vole un baiser, toi tu as juste un peu de mal à t'éveiller. Pour peu, tu mettrais la couette sur ta tête en le boudant, histoire de lui faire comprendre que tu as encore sommeil. Mais comme il a l'air joyeux, tu fais un effort pour rester éveillé. Il espère que tu as bien dormi ? Tu attrapes cette main qui glisse sur ton visage, venant remettre une mèche de tes longs cheveux blonds derrière ton oreille...

-Je dormais bien, mon prince...

Il t'a réveillée. Enfin, tu es quand même curieuse de savoir ce qui le met d'aussi bonne humeur. Tu as quinze minutes pour prendre ta douche ? Un bikini ? HEIN ??? Quel genre de surprise te prépare-t-il encore ??? Tu n'en as pas la moindre idée, il file après t'avoir volé un nouveau baiser. Heu... Que faire ? Tu ne sais pas. Tu regardes un peu ton corps, rosis en te rendant compte que tu es toujours une jeune femme, te demande si la douche est vraiment une bonne idée... Mais la curiosité est plus forte que tout : tu files rapidement sous la douche et entreprends de te laver rapidement. Ce qui te pose le plus de problèmes ? Tes longs cheveux qui se mettent à faire des nœuds affreux. Il te faut plusieurs longues minutes pour les démêler. Tu les sécherais bien mais à voir le mot qu'il glisse sous la porte de la salle de bain, tu te ravives bien vite. Pas le temps. Tu les attaches plutôt en une natte, comme tu le fais avec ta cousine, puis enfiles le bikini. C'est... Étrange. Tu te regardes dans le miroir et tu es tout bonnement incapable de te reconnaître. Tu ignores complètement qui est cette jeune fille qui... Heu... Qui refuse de sortir dans la rue dans cette tenue. Alors tu sors de la pièce d'eau à pas de loup et gagnes le dressing. Alors, tu doutes de trouver des affaires à ta taille mais en cherchant bien, tu devrais pouvoir trouver quelque chose qui puisse convenir... Et oui. Tu souris en lui empruntant une chemise, laissant les deux boutons du haut ouverts et laissant ceux d'en-bas ouverts. Trop grand, mais ce n'est pas grave, tu te contentes de rire étant donné que cela te fait presque une robe. Tu fouilles quelques minutes, jusqu'à trouver un short qui ne soit pas dix fois trop grand pour toi. Tu as vraiment changé niveau taille... Enfin, tu te trouves une ceinture puis tu sors, nus-pieds. Tu enfiles rapidement tes chaussures à talons, ton écharpe par habitude, puis tu sors en toute hâte de l'appartement, fermant bien à clé derrière toi et glissant ensuite celles-ci dans une des poches à l'arrière du short. Tu prendrais volontiers les escaliers pour descendre mais sachant ce que tu as aux pieds, tu juges plus prudent de prendre l'ascenseur. Les étages défilent sous ton regard impatient et lorsque les portes s'ouvrent enfin, tu files dehors, soufflant un nouveau baiser au gardien. Infernale... Bref. Tu sautes sur ton homme qui t'attend, appuyé contre le capot. Tu lui voles un baiser puis tu t'esquives suffisamment rapidement pour qu'il n'ait pas le temps de te répondre.

-Alors chaton, où m'emmènes-tu ?

Tu lui accordes un grand sourire, allant devant la portière du passager avant. Il conduit toujours, tu l'as bien compris. De toute manière, ces machines ne sont pas tellement ton domaine. Tu préfères la marche à pied. Sans-doute es-tu un peu trop loup pour apprécier toutes les technologies. Enfin bref, ce n'est pas grave. Tu tournoies un peu sur toi-même, le faisant profiter un peu de ta tenue improvisée, puis tu t'installes, bouclant ta ceinture. Tu as hâte de voir où il t'emmène ! Tu as hâte de pouvoir passer une journée complète avec lui, même si à voir la position du soleil dans le ciel, la matinée est déjà bien avancée. Tu as dormi si longtemps que cela ? Étonnant... Enfin bref. Tu le laisses démarrer, vous discutez tous les deux, de tout et de rien, de votre nuit passée ensemble... Puis tu allumes la radio et te mets à tester ta voix en chantant en même temps que ce qui passe. Tu l'encourages à t'accompagner très régulièrement, le corrigeant en riant lorsqu'il fait une fausse note... En bref, le trajet passe bien vite à tes yeux. Le temps passe toujours trop vite quand tu es avec lui... Enfin, vous êtes arrivés sur la plage. Un grand sourire limite débile étire tes lèvres tandis que tu regardes l'étendue sableuse et l'océan un peu plus loin... Le seul point problématique est la foule : tu as toujours du mal. Enfin, tu déglutis un bon coup et va plutôt attraper le bras de ton homme, le laissant prendre ce dont il a besoin avant de l'entraîner à ta suite dans le sable. Tes chaussures restent dans la voiture. Quelques instants, vous cherchez une place où vous installer... Puis tu finis par t'arrêter quelque part où l'espace est suffisant pour que tu puisses maîtriser ta phobie. Heureuse d'avoir trouvé un coin où vous poser, tu te tournes vivement vers lui, venant frôler ses lèvres en te mettant sur la pointe des pieds...

-Tu vas fondre au soleil, Sucrerie... Il va falloir que je te mette de la crème solaire... Allez, installe ta serviette, je m'en occupe tout de suite. Et tu n'as pas le choix ! Tu t'occuperas de moi après !

Tu ris tandis que tu le laisses s'installer, mettant ta propre serviette sur le sable. Et tandis qu'il se désape, tu fais de même, sentant avec délice le soleil caresser ta peau. Quelques regards se posent sur toi, tu déglutis un peu difficilement. Tu sais où ils regardent : ton dos, tes cicatrices. Mais tu essayes de les ignorer, allant plutôt t'emparer de la crème solaire. Une fois le tube entre tes mains, tu en étales un peu partout sur la peau de ton homme puis entreprends de recouvrir la moindre parcelle de sa peau de crème. Tes gestes sont lents, précis. En vérité, c'est un vrai massage que tu lui accordes sur place. Tu es totalement concentrée sur ce que tu fais, au point d'en oublier les regards. Tu t'occupes même de devant, puisque tu l'as pas la moindre envie de le lâcher... Mais lorsqu'il est bien protégé, tu dois bien lui tendre le tube. Tu le laisses ensuite s'occuper de toi, frissonnant sous ses mains, te mordillant la lèvre... Les yeux fermés, tu profites à fond de cette situation. Tu l'aimes. Oh que oui, tu l'aimes. Plus que tout, plus que jamais. Tu ignores les quelques sifflements qu'on t'adresse, bien trop concentrée sur les mains de ton amour qui glissent sur ta peau. Tu te sens tellement bien... Et pendant ce temps-là, tu réfléchis à la suite. Vous avez encore un peu de temps avant l'heure du repas, s'il compte vous faire manger sur place. Que faire en attendant ? Aller à l'eau ? Hum... C'est une idée. Sauf que tu vois un ballon et cela fait bien vite tilt dans ton esprit. Lorsqu'il finit de te tartiner de crème, tu viens l'embrasser passionnément puis tu te recules, lentement, tes lèvres à quelques millimètres des siennes, son souffle de déposant dessus...

-À moi le ballon !

Tu lui voles un nouveau baiser avant de te retourner vivement, t'emparer du ballon et te sauver à toute vitesse, riant joyeusement. Tu zigzagues entre les autres personnes présentes, jusqu'à un endroit un peu plus dégagé où tu l'attends... Et lui envoie joyeusement le ballon. C'est parti pour une joyeuse partie de beach volley à deux, à votre manière. Tu finis à plusieurs reprises étalée dans le sable, morte de rire après avoir loupé une balle. Le sable se trouve une place dans tes cheveux, parfois tu en respires un peu mais qu'importe, tu t'amuses tellement ! Passer du temps avec lui est l'un des plus beaux cadeaux que l'on puisse te faire. Tu l'aimes. Mais de temps en temps, on te déconcentre. Régulièrement, tu entends des sifflements qui te sont adressés. Tu les ignores la plupart du temps, laissant ton homme t'embrasser tout aussi régulièrement, répondant toujours à ses baisers, mais ils ne s'arrêtent pas. Au contraire, tu as l'impression qu'ils prennent cela pour un jeu. Tu n'aimes pas cela, tu n'es pas leur jouet, qu'ils aillent voir ailleurs ! Et puis, sentir le regard d'autres hommes sur toi est très étrange, toi qui n'as l'habitude que de celui du jeune Jakotrov... Les minutes passent, les sifflements continuent... Jusqu'à ce que tu finisses par te tourner vers eux, qui se sont rapprochés depuis le début.

-C'est bon, le spectacle vous plaît ?
-Assez, oui.
-J'en suis ravie. Maintenant, si vous alliez voir ailleurs si j'y suis ?
-Pourquoi, blondie est timide ? On est bien ici, nous...


Tu serres les dents, sentant ta magie faire légèrement vibrer l'air. Qu'ils s'en aillent, par pitié... Seth revient à tes côtés, glissant une main sur ta taille... Tu te colles à lui et le pousses plutôt à se détourner. Tu comptes bien aller regagner vos serviettes afin d'avoir la paix lorsque tu sens une main se poser sur tes fesses. Ta réaction est immédiate et instinctive : tu te retournes et gifles violemment celui qui a osé te toucher. Il tourne la tête et se met à rire, légèrement. Oh oh, très mauvaise idée...

-Recommence une seule fois et je peux t'assurer que...

Pas le temps de finir ta phrase que c'est à ton homme de réagir, frappant l'inconnu. S'ensuit alors une jolie bagarre que tu regardes avec désolation. Tu n'aimes pas regarder les autres se battre, encore moins lorsque ton petit brun est impliqué. Tu te mordilles la lèvre inférieure, cherchant une solution à cette bagarre... Sans pour autant laisser l'autre pervers avoir le dernier mot. Tu t'agites un peu, mal à l'aise, dansant d'un pied sur l'autre... Quand soudain, tu as une idée. La bonne idée. Déglutissant difficilement, tu te forces à paraître totalement assurée et vient juste à côté des garçons, prenant une voix de miel...

-Seth d'amour, tu vas encore avoir des bleus... S'il te plaît, arrête...

Les autres garçons te regardent, d'une manière totalement ahurie. Surtout que ton mari cesse de frapper et revient à tes côtés. Ahah. La grande classe. Mais, avant d'en finir... Tu te rapproches du pervers, lui souriant joyeusement... Puis, sans prévenir, tu lui envoies ton pied dans l'entre-jambe. Il se plie alors en deux tandis que tu croises les bras sur ta poitrine. Non mais.

-Je disais, recommence et je pense que tu ne seras plus capable de te servir de ce que tu as entre les jambes. Sur ce, bonne journée, bande d'idiot. Tu viens, amour ?

Douce, tendre et innocente jeune fille... Ahah. On dirait que tu lâches plus facilement au loup qui est en toi sous cette apparence. Ou la louve, tu ne sais plus trop. Toujours est-il qu'on s'approche, tu mords. Bref, souriante, tu viens voler un baiser à ton cher et tendre puis tu l'entraînes définitivement sur vos serviettes, récupérant votre ballon au passage. Il ne faut pas pousser trop loin non plus. Un profond soupir s'échappe d'entre tes lèvres tandis que tu reposes la balle par-terre, puis tu t'assois sur la même serviette que le brun, venant te coller contre lui, te faisant une place entre ses bras... Tu es tellement mieux, ainsi protégée...

-Excellente idée, la plage... Dommage qu'il y ait des pervers... Je ne comprends pas pourquoi ils ont agi ainsi. Tu as une idée, toi ?

Non, tu ne te rends pas spécialement compte de combien tu peux être magnifique. Tu n'as jamais vraiment fait attention à l'apparence, ce n'est pas ce qui te marque le plus, même pour toi. Du moment que tu suis tes propres standards, tout va bien. Mais tu cherches son avis. Pourquoi ont-ils agi de cette manière ? Ah, mais il n'a peut-être pas spécialement envie d'en parler... Tu le regardes, légèrement inquiète de voir sa réaction... Et viens plutôt l'embrasser. Mieux. Ahah, lui aussi à du sable sur lui ! Tu rirait bien mais tu es bien trop occupée à l'embrasser pour te le permettre. Un baiser fougueux, passionné, au point que tu l'allonges sur le sol afin de mieux en profiter encore... Oh, qu'est-ce que tu l'aimes, ton Seth... Le baiser cesse lorsque ton ventre se met à gargouiller, d'une manière très peu discrète. Honteuse, tu le relâches et te rassois. Oups... Très peu distingué... Mais il faut dire que tu n'as rien avalé ce matin et que tu n'as pas l'habitude de sauter le petit déjeuner...
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