Sujet: Draven ♣ La classe, c'est génétique. 8) Ven 23 Aoû - 11:07
Prez
+ les morts & pngs de Drav.
Hunter Gabriel Ray Twain †
Mon frère. Tu as tout été pour moi : un père, un frère, un mentor, mon meilleur ami et confident. Tu m'as soutenu, tu m'as poussé de l'avant, tu m'as consolé, tu m'as protégé. Tu étais mon univers, Hunter... Mais aujourd'hui tu n'es plus là.Tu es mort, on t'a tué. Je ne me souviens pas de t'avoir découvert peu après, je ne me souviens pas du fait que je t'ai vengé... Rien, le néant. Je sais juste que tu es mort, que tu m'as laissé seul... Sans toi qu'est-ce que je suis ? Une coquille vide, sans raison de vivre, sans autre but que te faire honneur. Tu me manques tellement... Toi tu savais me contrôler, regarde ce que je suis devenu sans toi : une bombe à retardement ! J'explose et je tue. Je ne contrôle plus rien. Pourquoi m'as-tu abandonné ? Tu avais promis de veiller sur moi, toujours... Même si on se battait souvent... Hunter, tu étais tant pour moi... Aujourd'hui je suis tes traces... Je suis DJ, comme toi. Je voudrais tant rappeler aux autres combien tu étais quelqu'un d'extraordinaire... J'espère que, de là-haut, tu seras fier de moi... Je t'aime à jamais, mon frère...
Chase
Certains trouvent ça bizarre que je te parle. Je sais bien que tu es un chien, mon grand, mais tu es aussi l'un des rares à m'écouter. Surtout : à pouvoir me supporter constamment. Tu sens quand je commence à faire une crise. Dans ces moments, tu me préviens pour que j'avale mes calmants... Tu m'es indispensable mon grand... Autant comme compagnon quotidien que comme chien de garde. Nous sommes quasiment inséparables et peu importe les remarques des autres. T'es un bon chien, Chase. Ne change pas mon grand.
Baldr Andor Engen
Tu étais un pote de mon frère, Baldr. C'est toi qui m'a pris sous ton aile dans la police scientifique. Tu restes mon mentor et l'une des rares personnes dont j'accepte l'autorité, encore aujourd'hui. Tu veilles sur moi de loin, tu prends régulièrement de mes nouvelles, tu m'as aussi couvert quelques jours durant ma fuite... Je crois que, quelque part, tu cherches à rendre l'absence de Hunter moins douloureuse, tu cherches à me protéger, toi aussi... Je suis assez grand pour me débrouiller il me semble, non ? Je crois, mais tu n'as pas l'air d'accord. Tant pis, quelque part, ça fait plaisir de savoir qu'on tient encore à moi, quelque part. Tu es aussi mon éternel contact avec la police scientifique. Tu ne m'as pas dénoncé quand j'ai piraté leur réseau pour avoir accès aux dossiers, tu m'appelles de temps en temps pour que je te donne mon avis sur les enquêtes en cours... Tu trahis le secret des sous-sols de la police pour moi et je t'en suis redevable, à vie. Merci pour tout ce que tu as fait et surtout tout ce que tu fais encore pour moi...
Nilda Leta Paez
La rose de sang. Voilà le surnom que j'ai toujours entendu quand Hunter parlait de toi. Il disait : belle et piquante comme la rose. Sang, parce que tu es une vampire. Je ne t'ai pas souvent rencontrée, Nilda. Pas jusqu'à la mort de mon frère. Je crois qu'il avait peur de te laisser m'approcher. Toi et ton comportement parfois gamin, aguicheur, excentrique... Tu es beaucoup de choses que je ne suis pas, tu es semblable à ma mère d'après ce que j'ai cru comprendre. Tu connais ma famille depuis trois ou quatre générations. Tu as connu mon père mais tu ne m'en parles pas. Tu ne veux rien me dévoiler et j'ai peur qu'il y ait des secrets profondément enfouis... Mais en attendant, tu es certainement celle qui m'a le plus aidé. Je sais qu'on ne me trouvera pas chez toi, tu as été de la police par le passé et les humains respectent ça. Même si tu es plus que louche, vu les nombreux invités non fréquentables qui parcourent ta demeure. J'en ai fait parti. Tu m'as hébergé plusieurs mois, tu es parvenue à trouver un dosage correct pour mes calmants. Tu sais que si tu as un jour besoin d'un coup de main, je serai là pour toi. Tu n'as qu'à m'appeler, je viendrai. Et je sais que l'inverse est tout aussi vrai. Pardonne-moi simplement de vouloir à tout prix m'en sortir par moi-même, quitte à me perdre...